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stique« etait une des bases sur lesquelles s’appuyaient les idees direetrioes nouvelles, adoptees dans lTart. Apres ayoir rompu avec le dogme du classicisme, elles creerent une atmosphere favorable a 1’eclosion du romantisme, comme d’autre part elles preparerent le terrain dans lequel le realisme moderno devait prendre nais-sance. La faęon lente mais systematique dont le realisme se de-yeloppa du romantisme, est une des taches plus attrayantes que 1’histoire de la litterature ait a accomplir. On oublia bientót que la notion de 1’interessant avait joue un role assez important dans cette evolution. Elle deyint peu a peu exsangue et triviale, de sorte qu’elle finit presque par prendre le sens d’une em/Ą esthetique. La plupart du temps elle n’est aujourd’hui qu7un subterfuge dont nous usons en jugeant la yaleur d’une oeuyre ou en la caracterisant, surtout lorsque nous n’avons rien de concret a en dire.
3b. BIAŁECKI M.: Polskie gwary w Czadeckieni. (Les dialectes po-lonais dans le districf de Czaca). Presente dans la seance du 14 decembre 1931.
Les dialectes de Czaca se divisent en deux‘ groupes distincts: a) les dialectes nettement polonais; b) les dialectes mixtes, polono-slovaques. Au premier groupe appartiennent: Czarne, Oszczadnica
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Górna, Średnia et Dolna (la Haute Oszczadnica, Oszcz. Moyenne et Oszcz. Inferieure], Skalite et Swierczynowiec; au second — le reste de la region.
Sur le territoire du premier groupe, les traits silesiens (surtout ceux de la Silesie du sud) et petit-polonais apparaissent cóte a cóte. Aux traits silesiens il faut rattachez: 1) Particulation ele-vee des nasales et des groupes <?, o, a consonne nasale (le type ztfmby, lyn, końum, zlfomać)\ 2) le maintien de la prononciation -% qui, seulement en Skalite, se developpe d’apres 1’usage de la Pe-tite Pologne en -k; 3) Tabsence de »mazurzenie« a Oszczadnice a cóte de la presence de »mazurzenie« a Skalite; Czarne et Swierczynowiec ont reuni les series, i, c, | et s, i, c, £ en une seule serie de ś, i, c, ce qui est arrive parce que les habitants de la Petite-Pologne qui observent le »mazurzenie« ont adopte la prononciation silesienne de non-»mazurzenie« ; 4) le type v?ed śńodańim,
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