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kronice. »²¹ Le corps monstrueux attaąue le monde exterieur surtout par son alimentation (nous allons analyser les significations et les fonctions de ralimentation plus tard). Les aliments n’appartiennent plus au monde exterieur et ils n’appartiennent pas encore au corps devorant. Cette existence de borne provoque repugnance par leur non-identite inguietante.

II y a plusieurs apports theoriques qui analysent la substance de la I i monstruosite. Georges Canguilhem traite de ce phenomene systematiquement | dans son article La monstruosite et le monstruewc. D apres lui, le monstrueux met en question la fiabilite de 1’ordre naturel, un ecart I i morphologique suscite une crainte et une repugnance. Gagnebin recapitule les explications de Canguilhem par des mots suivants: «En revanche, la monstruosite lui pardit etre une menace accidentelle et conditionnelle\ \d’inachevement ou de distorsion dans la formation de la formę. C est par l interieur et non par l’exterieur que Vindividu se voit limite, lorsąu il decouvre sa monstruosite. Aussi bien, pour G. Canguilhem, la monstruosite I est la negation du vivant par le non-viable. (...) La laideur semble alors | participer des traits specifigues de la monstruosite comme des traits

caracteristiąues de la mort. »²³ Le monstre represente une defense contrę la peur le de mort et de 1’irrationnel (qu’il incame). Hocke affirme que le monstre appartient a Ticonographie du manierisme ; il est relie a la divinite, ainsi qu’a 1’horreur. « Take monstrum je opakem dobre ho vkusu — bon gout.

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Je kyćovite krasnym yyplodem « magicke » prirody. »

Josef Fulka considere le monstrueux comme un ecart de la rai son, de| Fordre; la monstruosite est une certaine contre-yerite, guelgue chose gui ne

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