5 LETTRES DE CORAY, GUILFORD ET PICCOLO 369
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Monsieur,
Je n’aurois pas differe ci long tems mes remercimens pour votre tr£s aimable lettre du 15.9br® si je ne 1’usse pas reęue dans un moment de la plus grandę affliction, pendant la derniere maladie de mon pauvre neveu, Frederic Douglas, qui a eu l’honneur, je pense, d’6tre connu de vous, k Londres. Je suis venu ici, pour voir son pauvre pere, et pour passcr d'ici aux Isles Ioniennes, od je dois faife les prćparatifs pour rćtablissement de runiversit6.
Je me pouryoirai ici, s'ii est pos^ible, de tous les papiers imprimes en Grec, k la aocićtć centrale de Tenseignement mutuel. C’est un avantage inapprćciable que vous procurez, non seulement k votre patrie, mais k la Grfcce entifcre.
C'est dans ce beau pays \k que j’espfcre passer quelques mois de tous les hyyers qu'il plaira k la Providence de m’accorder. Mais, pendant qu'il me reste de la force, je me pro-pose de retourner tous les ans chez moi: ce qui me donnę Tespoir de vous revoir, ou en Moldavie ou ailleurs, et de vous renouveller, de vive voix, les assurances de la haute considć-ration avec laqtielle,
Jłai Thonneur d'ćtre,
Monsieur,
Yotre tr£s humble et tr&s dcvouć serviteur
Guilford
* Paris ce 6.10b*° 1819
(Les Archiyes de 1’lłtat de Bucarest, Nouve1!es acąuisitions, pag. GCLIY, doc. 100).
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