7 LETTRES DE CORAY, GUILFORD ET PICCOLO 371
teur Typaldo et Mr. Didyme ćtaient les seuls tćmoins que je puisse citer. J’ai prić le premier de m’envoyer son temoignage; je viens de le receyolr et j’ai 1’honneur de vous 1’adresser avec celu! de Mr. Didyme. Je vous prie, Monsieur, de les transmettre k quelqu'un de vos amis de Iassy pour forcer enfin Mr. Clćobulos k ćtre juste et raisonnable.
II est possible qu’il dise m'avoir payś comme il avait affirmć au porteur de la lettre de change qu’il ne me devait rien. Je vous prie d’en prćvenir votre ami, afin qu’il nes'en Jaisse pas imposer.
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Si je ne rćussis & retirer mon argent par votre entremise, je vous promets de ne pas le redemander. Mais je saurai le faire payer mille fois plus cher k Mr. Clćobulos. Je n’aurai qu’& publier la lettre de Mr. Typaldo, avec quelques petites remarąues. La lecture de cetle lettre que vous trouverez ci-incluse, vous convaincra, j’esp£re, que ce n’est pasła une fanfaronadę.
Une perte de 100 fr. est peu de chose pour un homme qui n’attache pas beaucoup de prix k Targent. Je me flatte, Monsieur, que vous me rendrez la justice de croire, que le sacrifice ne m’en serait point pćnible. Ce n’est pas un intćrćt pćcuniaire qui mc porterait