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de la ffiret de 1'*rr.azone • dont la culture ćtait infćrleure a celle de ste pr^histotiąuee,et qui el<5vće,p:r des EuropćenB

se rćvfeie une ćcolifer-e h 1’esprit ouv* rt et vif .

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jHais adm*ttre la th-jorie de l¹ Art pour l^,*rt‘.c^,egt ausai auppoeer que les pensćee des prćhistorig.uss ćtaiant tournee vers les m&neB su^ets que les nStrea.Or la faęon de penser deę homiues est le rósultat produit par un grand nombre de faqteurs,le mllie., ^‘dSaucatlon^instructianj le modę de ■^ie^a profession^nt une action determinantę.Ce ne penses _i pa# qu*on puisse prćtendre que 1 ^rhoiBiae palćolithiqUe se ... trouyait au point de vue de ces factenrs piacie dana des eon di tlone semblables»in6me de loin,& celles dont noue Jouiseons jCest une erreur trop pomiuunśment rćpandue cue d e vouloir expliquer les choees de la prćhistoire,en pr6tant h des pró-historiąues une cervelle bourrće d'idćes toutes modernes.

Rien ne nous autorlse k affinaer que 1'artiste prćbźłstor •rique travaillait dans le seul but de satisfaire un irrćsis-tiblr beaoin d'extPriorisez son amo\lr de la beautć.Si cela ćtalt,nous devrions trouver des oeuvres prdhistoriąues re~ prćsentant de beauz paysages,il ne devait pas en mancjuer..

Or, ce sont seulement dee animauz et plus rarement des hu-mains qui sont :ęeprdentź8,et encore des figurations humai-• nes sont elles' le plus souvent nalyea sans interlt artin-

tiques.’ • "    ’    -v *

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Mais plaęons noue dans les conditions naturelles qui ^r ćtalent celles des tempa palóolithiqueef

Vivant dans un milieu trće rude,tout occupćs de pourvoir & leur nourriture qu'il fallait atteindre par la ruse,l'a-dresae,la force,les hommes prćhistoriquee avaient 1’esprit .tournć śurtout /vers les moyąnś de satisfaire les besoins , mfctćriels les plus urgents.Użie jnauvaise Chasse signifiait pour euz, faim, souffrance,moft m8me,si le giblez ńanąuaii trop longtemps,La chasse ćtait,ne 1’oublione pas,le*pdint le plus important de la vie*Lee hommes du renne ont d£ tout essayer pour.assurer le succfes de leurs ezpśditions de

chasee.    "

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Eous pouvons rćcrćer leclimat p8ychique de ces lointai-nes śpoques en nous aldańt de 1¹ethnologie.

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Des ótudes faites chez les habitants de la zonę areti-quę comme-chez les habitants des fdrets ^guatoriales ou des ileś du pacifique montrent ^ue les pjimitifs peuplent le ciel,la terre,et les eezz d'esprit6 bons ou iauvpie.Tout ges te inconsid^rć peut dćclancher une suitę d^ctlons picpices ou n<fistee.D^róu une incroyable prolifśration de dćfenses, de taboua,ds pr^cautlons & prendre avant toute action.'