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Le ohoix de la fonetion mathćmatiąue d ajuster sera guiać par le souci de • rendre compte au mieux de la formę des eourbes> ąui prćsentent gónśralement wie 14-gdre concccoite vers le bas ; on peut dans ce oas conseiller les mod&les suivants :
"0 Dg.= b0 + b.H0 + b2T + W + Vo. |
* K |
CD • |
> |
i ' ó |
DE! -Dg = bo + biH0 + b2T + b3H0T |
(2) |
On peut ajuster le second moddle par rógression lineaire, pour diver$es valeurs de k fixćes a priori entre O et l> et retenir la valeur de k ąui conduit au coefficient de corrólation maximum (voir annexe A4). On peut aussi l'ajuster direo-'tement par une móthode de rćgression non linśaire.
Quelle ąue soit la fonetion ajustće, il faut absolument vśrifier graphiąue-ment le rśsultat obtenu en le superposant aux donnóes, de fagon a pouvoir dótecter tout oomportement anormal.
523 Definition du traitement sylyicole en termes d'5ge et de nombre de tiges
Le faisceau de eourbes traeó par des methodes graphiąues (§521) ou statis-tiąues (§522) dćfinit des alasses de traitement sylvieole. On peut alors dśterminer l'evolution du nombre de tiges correspondant d ehaeune :
■Si la fonetion ou la courbe donnę le diametre moyen en fonetion de la hau-teur dominantę, on fait des classes de hauteur et on determine, a partir des donnees, le nombre de tiges moyen dans chaąue classe de hauteur, pour chaąue classe de traitement 0);on peut ensuite convertir, pour chaąue classe de fertilite, les classes de hauteur en classes d'age en utilisant la courbe de fertilite correspondante.
■Si la fonetion donnant le diametre moyen a ete ajustee en utilisant le nombre de tiges/ha ou le facteur d'espacement comme indice de sylviculturej cette determination est ćvidemment inutile. Mais la valeur des coefficients obtenus en ajustant une fonetion de ce type depend de la relation existant dans les donnees entre age et nombre .de tiges ; ignorer ce fait peut eon-duire a utiliser la fonetion pour des combinaisons §gexnombre de tiges qui ne sont pas representees dans les donnees, et a risąuer ainsi des estima-tions plus ou moins fausses.
O1) On suppose, la encore, que l’expression du nombre dc tiges N en fonetion de la hauteur dominantę H0 suffit & prendre en compte implicitement, pour une classe de traitement donnee, les variations de fertilite. Si cela se revele irrealiste, c’est-a-dire
4 •
si pour une classe de sylviculture N est manifestement fonetion de H^ et_ de la fertilite, il faut etudier directement N par classes de traitement' * age * fertilite.