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\ ćtrangers par toute ł’Asie en tout temps * portent la ceinture cholerique, piece de llanelle serree fortement, convrant 1’estomac et prevenant des frissons sou-dains dans les partics vitales, le fatal symptomu de maladies autres quc le cholera. Kn plus, il doit ćviter le soleil de midi, et comme remede preventif a la fievre malariale, il doit ])rendre une tasse ile the ou de cafe chaud avant de descendre au rez-de-chaussee de la maison, ou avant de prendre son bain matinal. Dans les maisons de thć de la campagn^ et dans les endroits ćloignes il liii est possible de trouver les con-trefacons de tout breuvage ćtranger; mais il doit ćviter de boire ceux*ci. Les eaux minćrales embouteillćes sont les plus sfires, et celle de la sonrce Hirano, pres de Kobć, est similaire a rApollinaris. Du thó en tasses mignonnes est offert partout et ćtanche le mieux la soif, mais comme ce tlić vert, frais et sans falsi-fication est beaucoup plus fort que celni que le touriste est accoutumć a boire chez liii, il ne manquera pas de le trouver lin stimulant puissant. On peut toujours se procurer durant l’ćtć de la glace sciće. La poudre insecticide est une nćcessitć, et chaque voyageur devrait en em-porter avec liii lors des chaleurs, et 1'huile de “ pennyroyal " 1’aidera a mener une existence agreablc dans les vieilles maisons a the, s’il preml la prćcnution de s’en fric-tionner completement.
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V.
Les execllents hotels et le genre de vie exot»qiie et 1’intćret que prć-sente Yokohama incitent le touriste a prolonger son sćjour dans cette
ville; mais il est plus sagę pour lui de voir la menage. contree, de visiter les ports de mer, les magasins
de soieries et de curiositćs, les photographes, les tailleurs, les tatoueurs, et de s’occuper ]>lus tard de la vie sociale. S’il dćsire faire un sćjour prolongć, il peut louer une maison meublće pour le temps de son sejour & raison de 45 A 50 dollars par mois pour un petit“ bungalow,” jusqu*a 300 dollars par mois pour une habitation plus prihentieuse. Ou, pour une maison non meublće, meubles, literies et autres nćcessaires peuvent etre loućs chez les grands marchands de
2$