WROŃSKIEGO ŻYCIE I PRACE. 331
43. Landur N. Erposition obregee de la philosophie absolue de Hoenć-Wronski d’apres ses ouvrages imprimós et manuscrits. Paris, Amyot, Novembre 1857. 8-vo, VIII, 126.
Dedykacya: A Monsieur le Comte Camille Durutte, executeur testamentaire de Wroński et auteur de la Technie harmonique.
Zawiera szczegóły do biografii Wrońskiego.
44. Erdau A. La France mystigue. Tableau des excentricit6s religieuses de ces temps par ... 2-e ćdition avec portraits, revue par Pautenr et augmentńe d’une nouvelle prćface par Charles Potvin, Amsterdam, R. C. Meyer, librairie ćtrangere 1858. 2 tomy.
W tomie 2-gim, księga IV: „Les mystiques polonais en Franceu, w rozdziale I-ym p. t : „La Veuve d’un Dieuu opisana wizyta u pani Wroiiskiej w tych słowach: „Wroński, qne je n’avais ja-mais 6tudie jusqu’a la, se trouvait ... un esprit sec, hostile a toutes les aspirations de ma religion humanitaire. Par suitę de ma yisite a sa digne veuve, j’avais commence a lirę ses ouvrages avee le desir de les trourer admirahles; je le trouvais módiocres, ridicules, monstrueux a certains egards. Cette idole, que je pensais sublime sous un voile mysterieux, ćtait un colosse aux pieds d’argyle, qui mćrite entierement Pobscuritć oii il est ]>our la plupart de ses con-temporains... W rozdziale Il-im p. t.: „IloOne Wronskiu 1,11—42) pisze: „Voila mes conclusions: j’ai trouvó dans les oeuvres yolu-mineuses de Wroński, trois ou quatre endroits, oii se rćvele, sous les broussailles d'une formę insipide, 1’homme de rćelle valeur, comme, par exemple, dans Pin quarto intitulć: „Les Cent pagesa les trois tableaux dicotomiques de la mćtaphysique, de la philosophie morale et du mysticisme. II y'a dans ces tableaux une science de dćtails dont j’ai apprecie le mórite et que j’eusse admiróe, n’eut ćt6 la manie systematisante et dicotomisante de Pauteur. Mais en dehors de ces travaux de i’auteur tout historiques, je le rópete et je regrette vivement que le droit de la verite m’oblige a affliger, par ce jugement, les personnes dóvoućes a la m&moire de Wroński, je rćpete que, dans ma pensće, Wroński, n’est, en mótaphy-sique, qu’un reveur allemand sans logique, en religion qu’un my-stagogue vide d4dóes, et en politique qu’un penseur mćdiocre, dont la seule originalite consiste a insulter la d6mocratie yóritable, au profit d’un illuminisme sans prócision, sans exactitude, et a certains egards, sans noblesse, pour ne pas dire, sans coeur.