Le* avortcur* tucnt un petit Franęais sur trois.
Ceuz qui les protógent trahissent la France au profit de rćtranger.
Une seule place pour eux tous : Au poteau !... etfen attendant : En prison 1
la Guerre aux commandants des lógłons de gen-darmerie, pour que les inspecteurs de la police mobile et les gendarmes donnent leur concours le plus actif k la lutte contrę l’avortement.
L’Alliance Nationale a adressó en fóvrier 1939, k 3.000 magistrats, k 600 inspecteurs des briga-des rógionales, k 3.000 commissaires de police, k 4.500 brigades de gendarmerie la prćsente bro-chure, une autre sur le danger, pour la femme, de l’avortement provoquó, et le texte d’une con-fórence faite par son prósident a la 1” brigade de la police mobile.
Grace k sa propagandę, 1’opinion publiąue a commencó, depuis peu, k s’ómouvoir des ravages causós par les faiseuses d’anges et k pro tester contrę 1’impunitć dont ont bónófició jusqu’ici de nombreux módecins ćtrangers professionnels de ce crime. Le nombre des poursuites et des con-damnations a dójk augmente fortement et la mansuetude dont trop de tribunaux faisaient preuve a 1’egard des faiseuses d’anges a dis-paru.
Mais ce qui a ótó fait jusqu'ici reste trós insuf-fisant: si le Gouvernement a la volontó de met-tre k tout prix les professionnels de Tavorte-ment hors d’etat de nuire, ce sont au moins 80.000 naissances par an qui pourront etre gagnóes par la France.
En Autriche 1’internement des avorteurs a fait augmenter le nombre des naissances de 20 % en 7 mois !
Si nous voulons faire disparattre sans retard nos excódents de dóces, qui nous font considórer k 1’ótranger comme une nation mourante, tous les avorteurs, toutes les avorteuses doivent aller au bagne ou en prisorn
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