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Malgre 1'importance du nombre des participants a cette conference charges de representer des organisa-tions nationales, sous-regionales, regionales, interna-tionales, gouvernementales et non gouvernementales, il existe encore davantage de personnes qui, quoique ab-sentes de la Conference, peuvent tirer profit des ele-ments dont s inspire le chapitre 18 du programme Ac-tion 21. II est par consequent tout a fait indique de lirę cet ouvrage, et Ton ne peut que louer les auteurs d'avoir contribue a la diffusion de ces informations.

II s'agissait de la premiere grandę conference in-ternationale sur l eau depuis la Conference des Nations Unieś sur leau de 1977. A la difference des actes de cette derniere, cette publication doit etre consultee conjointement avec d'autres documents cites en refe-rence, de faęon a permettre une meilleure evaluation des questions en jeu.

N.Y. Ayibotele

Rethinking Technical Cooperation (Repenser la coopera-tion technique). Bureau regional pour l'Afrique, Programme des Nations Unieś pour le developpe-ment (1993). Publie sous la direction de E.J.

Berg. viii + 321 p. ISBN 92-1-126022-1.

Cet ouvrage est le bienvenu, compte tenu du desen-chantement que suscite la cooperation technique dans de nombreux milieux. Quiconque est implique dans l as-sistance technique doit imperativement le lirę.

Le sujet est complexe, car il concerne des pays qui different fortement sur le plan historique, culturel et economique. II est donc difficile de generaliser. Un pro-bleme qui touche un pays peut tres bien avoir deja ete regle dans d‘autres pays qui font maintenant face a de nouveaux problemes.

II faut louer l auteur d‘avoir privilegie les questions de portee generale. Uauteur s'est attache a definir et a analyser les diverses faęons dont l assistance techni-que a ete dispensee au fil des annees, mais aussi a en identifier les carences.

Au nombre de ces carences figurent 1'insuffisance de la participation au plan local, la simplification exces-sive de projets complexes, la conception trop hative des programmes, la redaction inadequate des moda-lites d application, la prise en compte de projets ne re-levant pas des politiques du secteur, les difficultes de misę en oeuvre occasionnees par des defaillances sys-tematiques, 1'utilisation inopportune des modeles de contrepartie mis au point a I echelon local par des ex-perts residents, 1'incapacite de satisfaire aux conditions prealables, les erreurs de recrutement et la loyaute a geometrie variable des experts. Ces exemples four-nissent des renseignements dont on peut tirer d utiles leęons.

Si ce tableau plutót negatif donnę 1'impression d'un echec complet, force est cependant de constater que certains succes ont ete enregistres, notamment dans le domaine de 1'education. On prevoyait a tort que la simple acquisition de connaissances donnerait imme-diatement lieu a un renforcement des capacites. Beau-coup n'ont pas encore compris qu‘une fois les connaissances de base acquises, cela prend du temps avant que ne se forgent un savoir-faire et des capacites.

II est manifestement indispensable que les pays beneficiaires s'efforcent de mieux comprendre et res-pecter les conditions posees par les pays donateurs, de maniere a pouvoir en tirer parti ou en arrondir les angles.

Des statistiques pleines d interet ont ete com-pilees et sont presentees dans sept tableaux. Tant les pays beneficiaires que les pays donateurs peuvent s'en inspirer pour analyser et reformer leurs politiques. II serait interessant de savoir quels pays de la region ont acces a 1'ensemble des informations disponibles et sont en mesure de s'assurer de l'exactitude des don-nees presentees.

Le procede recent visant, dans les pays donateurs, a tirer profit de 1'assistance technique pour re-soudre les problemes de chómage a ete ignore ou in-suffisamment traite. Ce procede est pourtant a l origine de certains des aspects indesirables de 1'assistance technique. Cela nuit a 1'approche fondee sur la de-mande.

Les observations concernant le non-respect des conditions prealables sont interessantes. L’experience demontre qu‘en depit de ces conditions prealables, on se prononce generalement pour la misę en ceuvre des programmes d'assistance technique pour peu que les diverses parties interessees soient determinees a me-ner ces programmes a bonne fin.

N.Y. Ayibotele

Diffusion and Transport of Pollutants in Atmospheric Mesoscale Flow Fields (Diffusion et transport des polluants dans les champs de courants atmosphe-riques de moyenne echelle). Publie sous la direction de A. Gyr et F.-S. Rys. Series de I ERCOFTAC, Vol. 1. Kluwer Academic Publishers, Dordrecht (1995). x + 216 p.; nombreux tableaux et figures. ISBN 0-7923-03260-1. Prix : 102,50 dollars E.-U.

Ce livre rassemble les exposes qui ont ete presentes par les conferenciers invites a 1'occasion de l'universite d'ete internationale sur "la diffusion et le transport des polluants dans les champs de courants atmospheriques de moyenne echelle", qui s’est tenue a Manno (Italie) du 23 au 27 aout 1993. Cette universite d ete s‘est derou-lee sous les auspices de 1'ERCOFTAC (Communaute eu-ropeenne de recherche en matiere d ecoulement, de turbulence et de combustion), qui parraine une serie de cours et de sessions portant sur le transport des polluants dans 1'atmosphere.

Generalement parlant, les points forts de l'ou-vrage sont les suivants :

•    il traite, de faęon assez complete, de la question importante et tres actuelle du transport des polluants a des echelles comprises entre 1 et

100 km;

•    il couvre des aspects tres divers et peut donc etre considere comme un manuel de reference.

Ses points faibles sont les suivants :

•    il est ecrit dans un melange d'anglais et d'ameri-cain, parfois au sein d'un meme chapitre; l anglais pourrait etre ameliore;

•    on ne trouve pas d'exemples pratiques qui au-raient permis d eclairer certains points particuliers et auraient rendu la lecture plus attrayante;

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