nem des grossi**. łdants ■. El Marc Bescond <3e libraine Les Chemins de mer. rsident de Tassociation.d*^-quer:« Le critere qualitatif pule en prioritl dans 1'appd ffres prćcisait que les biblio-•caires devaienr pouvoir isuller les ouvrages et que le stataire choisi devnut parti-tt aux ammations. Nous ai-wns savo»r comment cela va • possible avec des gros-*s. • El de conclure alors que seul critere de choix a M iomique •.
6t cap Ó4 la Mirta, tai 1998, un changement de ie la mairie avait dćja mis j aux poudres:« On nous consultes pour 1'achat de i a livrer dans chaque Aro-ur les prix de fin d’annće isse de CM2,explique-t-il, ►t finalement un grossiste, >sant une remise a 28 V ćtć choisi... avec un seul de livraison. •
:óte de la mairie de Mar-Marie-Louise Lota.Tad-au maire qui prćside ia ission des marches, met it les rłgles gAt^rałes des d’offres : « lis sont ou-tous, si nous ne cboisis-que les libraires mar-nous pourrions łtre e favoritisme et łtre at-es. De plus, nous devons deschoiz.» Et, dans ce renvoie les libraires auz s des biblioth*ques : ne suivons que les rap-analyse faits pas les rns, par la direction des eque$. * Mais Marie-ota nhesite pasiincri-s libraires: • lis ne font >urs 1’effort nćcessaire łondre correctement Is ó'o(frcs *, se disant rgamser une reunion braires et la direction theques.« pourexpli-;on dont sont faits les quelles sont les exi-
i agir. Les libraires jdiaiogue? Dans Tatom fermement deci-Et surtout i remettre 1 participation active edes libraires a Tor-de diffĆTentes mam-Ureen tee.priz du sse de Marseille, ani-tćraires i TOffice de
« Les appeb <f offres se muftipłient, les mar-chćs publia se centra-lisent rćgionalement et.qud que soitlesec-teur coocem^, ces l marches sont attribuls aux "moiru disant" •: i Jean - Marie $evestre.
prtsident du SNLf oe i dissimule pas son in-quiAude devant la si-tuation marseillaise.
• S’il est trop tard pour ce cas particulier, nous Studiom de trfcs prfcs ce qui est pratiquć ailkurs, et nous avons une proposition coocrhe i faire, com-me nous Tannoncions un peu avant ie Salon
du lme de Paris »(1). Avec ses coofrhes Jean-Michd Blanc, prtsident de TULF, et Jean Lego*, prćsident de b FFSt, Os oot A* issocićs pour la pre* miłrt (bis au groupe de travail techniqoe sur le droit de prłt qui sest rAmi au CNL le jeudi 29 avriL Car le SNLF et TULF - le futur SLF - font une proposition qui asso-be la question du ra-bais aux coQectivitć$ i celle du droit de prA. Lhypothbe tend vers une gbi^ralisation de la loi Lang passant par une homogbtbsation
des nrmises: c^est-A-dirt Tapplkaboo par les libraires <f une remise mannom de 5 % pour les coBectńri-tós comme pour la vente au (ktaiL En contrepartie, les libraires pf6£veraient quelques pointa sur le chiffre (faflairts rćali-s* avec les ventes aux coUectńritćs pour partia per su financement du droit de prA. Si Jean Leguć, qui consi-d*re la question comme • primordiale »,est favorable i cette proposition qu'Audie b FFSL, il s’insurge plus globalement sur le fait
que le ddwt actud tourne esjenbeflement autour de b question des bibłio(h*ques:
« fl est indisperoable de Tdargir i Ten-semble des coflectiri-\H »,dit-fl.
de nouveaux €ht-ments qui feront ddbat dans finterproCession, et qui seront sans nul doute AoquA lors de b rencontrt « Les li-brairies et les biblio-theques face aux mar-ch^s publia»pr6roe le 10 mai k Arc-et-Senans(2).
(1) '**LHi2S<kl1Zn.p. KL
(2) 2U99.fi 67.
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T.łH.» rtitf
V.Mo
Cil-t
la cuJture et dans les difTerents lieux culturels de la ville...). « Nous nallons pascontinuer i bire les gentils bdndvoles dans ces conditions », lance Marc Bescond. Dautant que cette dd-cision engendre chez les libraires marseillais une prćoc-cupation croissante sur
chd », stipule lartide envoy^ i Uvra. Et le conteite marseillais na rien d’unique. 11 ne fait que mettre une nouve!le fois en ezergue le dćbat thangulaire bi-bliotheque/libraires/pouvoirs publics.
Tincertitude qui p*se sur Tattn-bulion des futurs marches de b BMVR (1).« U est pour le moms regrettable de mettre en diffi-cultć des entreprises mar-seilbises de centre-villr et donc de menacer de chómage leurs empłoy^s pour quelques points de remise gagnds sur un mar- m wm tum lh jjo j*2tsn.fi 50
Commentaire
A plus d'un titre. b decision des ^lus de la ville de Marseille nest pas in^dite. Nombreuses sont les municipalites qui choisissent de passer outre cette habńude qui consiste asscz naturellement a acheter les livres necessaires a leurs bibliotheques auz libraires locaux. Mais les fameuses « remises aux collectivites », sujet tabou qui fait 1'objet de denonciations anonvmes
0
quotidiennes entre libraires, risquent de nćtre bientót qu'un souvenir dune epoque benie ou. moyennam de grosses, tres gros ses ristournes, on pouvait nćanmotns esp^rer compter quelques bibliotheques parmi ses gros comptes.
Les grossistes qui. ici comme
ailleurs.sont parvenus a s‘intercaler dans la chaine du livre comme un rouage juteux, ont donc le vent en poupe. Grossistes pour les libraires, nul ne sopposait donc a ce qu'ils le deviennent. plus massivement qu’auparavant. aupres des bibliothecaires.
D autant plus que les elus en charge des bibliotheques, guettes au moindre faux pas, sont toujours a 1'affut du moindre pourcentage d economie et se cachent derriere les codes des marches publics. Peut-^tre ne savent-ils pas qu'au • moms disant», jeu auquel les grossistes sont les plus forts. ils peuvent se rctrancher derriere le • mieui disant»,cette eipression tres offidelle qui cache tous les
services qu’un librai.-e peut rendre a un biblioth^caire dans le cadre de sa politique d’*acquisition. Mais p>eiit-łtre est-il trop tard pour reconcilier ces deux professions qui pratiquent.au fond.les deux metiers qui sont a la fois les plus proches et les plus eloignes: offrir un chois de livres dans des ravonf. i es uns
i
gratuitement.lesautresen faisant payer.
En dautres termes.b loi sur les bibliothbjues, qu’on annonce maintenant pour le secood semestre 2000, pourra difficilement. si elie voit jamais le )our, wbstenir de contenir un vołet sur le pła-fonnement des rabais aux cd-lectivit^s
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