LE MAROC CATHOLlQUE
ports du colon et de 1’indigene. - Lii France et le Maroc *. Quelques principes de politiąue indigene. — Questions d'enseignement. — L’ceuvre du protectorat et les exigen-ces de l’avenir. — L’opinion frangaise et les ąuestiors coloniales.
LIBRAIRIE EMMANUEL VITTE 3, Place Bellecour, LYON (2e)
1, Place Saint-Sulpice, PARIS (6e)
La Journće Mćnagćre a 1’Ecole, par Mile de Chenelette, avec la collaboration de Mme Marduel et de Mile Th»-vel. — 64 pages. Prix : 4 franes.
La seule ambition des auteurs est de rćpondre au dćsir souvent exprimć d’avoir un programme net, prćcis, qui facilite le travail des maitresses et ćleves pour la prćparŁtion de la « mention mćnagćre » et du certificat.
Ei si ces notions ćlćmentaires de science mćnagćre Peuvent ouvrir les jeunes esprits sur les choses de la vie Pratique, leur suggćrer le desir de complćter et d*appro-fondir 1’enseignement de 1’ćcole, les inciter a reflćchii, k raisonner, la vie de familie leur sera plus attrayante, Plus bienfaisante, plus agrćable aussi.
L’ouvrage comprend 28 leęons formćes chacune d’une dictće avec ąuestionnaire, d*un sujet de rćdaction, d’une lecture extraite des ceuvr« d’un grand ćcrivain et de deux problćmes avec leur solution.
LIBRAIRIE BERNARD GRASSET - PARIS
Collection « La Vie Chretienne »
CH. URBAIN et E. LEVESQUE. — ISEGLISE ET le THEATRE : Bossuet. Maximes et rćflexions sur la Comćdie, prćcćdćes d’une introduction historiąue et ac-compagnćes de documents contemporains et de notes cn-tiąues. — 310 pages.
LES ALMANACHS Almanach de S. Frangois 1931. — 2 fr.
Almanach de Sainte Thćrese de Lisieux 1931. — 2 fr. Almanach du Pelerin 1931. — 2 franes.
Almanach de N.D. de Lourdes pour l’an de gr&ce 1931.
2 franes. .
Almanach du propagateur des trois Ave Maria, 1931 e. Almanach du petit propagateur. — Prix : 1 fr. 50 (Blois).
LIBRAIRIE BLOND et GAY — PARIS
UN I.AIC REGARDE L'EGLISE, par Jean GRES.— Prćface du P. Yves de la BRIERE. — 140 pages : 10 fr.
TABLE DES MATIERES. — L*Eglise assemblee des fi-dćles. — L’Eglise et 1’argent. — L’Eglise et le travail — L’Eglise entre le riche et le pauvre. — L’Eglise et la souffrance. — L’Eglise et le miracle. — L’Eglise et la politique,Ia familie, Part, la science, Phistoire, le sport, la guerre. — Le regne du Coeur. — L’amitić de Je«us.
LITURGIA. — Toute la Liturgie commentće en un seul volume. Prćface de S. G. HARSCOUET, Evćque de Chartres.
On n’a pas oublić qu’& plusieurs reprises le Papę Pie X a demandć aux fidćles de puiser le vćritable es-prit chrćtien a sa source premićre et indispensable : « la participatoin active aux mystćres sacro-saints et & la prićre publique et solennelle de 1’Eglise ».
Plus d’une fois S. S. Pie XI a exprimć lc meme dćsir. De nombreux ouvrages, tels le Missel de Dom Cabrol ou celui de Dom Lefebvre, aident dej& les fideles a sui-vre sur cc point les directions pontificales. Une place res-tait k prendre, celle d une encyclopedie liturgiąue, ou les diverses parties de la science ou de la doctrine, traitćes avec compćtence par des spćcialistes, seraient disposees suivant un plan d’ensemble.
Pour rćaliser ce programme, une formę de livre a fait ses prcuves, l’ouvrage collectif sur le type tPEccIesia ; on s’adresserait, comme pour Ecclc‘sia, k des collaborateurs venus de tous les « bataillons de la grandę armee catholi-que » : religieux de divers ordres, pretres sćculiers, lal-ques, en mettant la main a l'ceuvre commune avec une egale ardeur et une meme obćissance aux directions dc TEglise, fourniraient comme une image vivante de la di-versitć des ames auxquellcs 1’EgIise ofTrc dans sa liturgie, la « circuiation de son sang mystique ». De cette pensće est nć Liturgia.
Son objectif n’ćtait pas d’etre, dans Je detail, un guide des cćremonies. Mieux valait, pour le commun des lec-teurs, leur faire comprendre 1'esprit des cćrćmonies : iis n’en seront que mieux prćpares, s’ils ont h prendre part k 1'une d'elles, a suivre les mouvements en exćcutants at-tentifs et dans les sentiments de pietć que ces gestes ex-priment.
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FOCH. — Sa jeunesse. — Ses amities. — Ses visites au Collćge Saint-Clement de Metz. par P. Pelot, S.J. — Prćface du Gćneral WEYGAND.
A qui dćsire mieux connaitre le Marćchal Foch, nulle epoque de sa feconde carrićre ne peut ćtre indifferente. Pas plus que les autres, les deux annćes qu’il a passćes k Saint-Clćment de Metz ne doivent tomber dans 1'oubli. Durant cette pćriode, qui fut, comme il l’a reconnu sou-vent Iui-meme, dćcisive dans sa vie, il a regu « 1’emprein-te * qu’il a volontairement conservće jusquA la mort.
L’auteur, professeur a Saint-Clćment peu de temps aprćs Tarmistice, a vu plus d’une fois le Marćchal lors de ses visites k son vieux collćge. U a pu reeueillir sur place et de la part des survivants des dćtails inedits qui per-mettent de pćnćtrer dans 1'ame de Foch et d’expliquer la formation de son caractere et 1’unitć de sa vie.
On comprend surtout les energiques rćsolutions de ce jeune frangais de vingt ans quand on Ta vu revenir, apres la guerre de 1870, dans Metz arrachće k la France, dans ce Saint-Clćment ou tout : Maitres, elćves, les choses elles-memes lui redisent les souffrances du sićge, les hu-miliations de la defaite et lui font partager les tristesses de l’anncxion. Heureusement viennent ensuitc d'autres pages moins sombres.
Les traits de ce soldat au masque dur se dćtendent pour sourire. Le coeur se montre affectueux et fidćle dans ses relations amicales avec ses vieux camarades de college et dans sa gratitude envers ses anciens maitres. Le Marćchal victorieux apparait tout bon, tout paternel en ses visites k la jeunesse du nouveau Saint-Clćment.
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POUPEES. — Patrons offerts gracieusement de 20 k 60 centimetrćs de haut (avec faęon de bourrer les poupees) aux lecteurs de ce Journal qui en feront la demande.
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