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CHIMIE BIOLOOIQUE


1945


antimitosiąuo (fibroblastc9 de Poulet in vilro) faible du 7, 17-diamino-3 - oxyoestra-dićne-1.3, mais non du 7-amino-cholestćrol et du dórivć 17-monoaminć de l’ćquiline.

Sur 1'antagonismo ontro le thymus et les glandes nexuelles; Korpassy B. [Klin. Woch., 1943, 22, 445). — L’inicction simul-tanće, chez la Souris, de follicullne et de divers extraits de thymus n’emp6chc pas 1’action de 1’hormone sexuelle sur la rnu-ąueuse vaginale, ce qui peut ćtre interprćtć comme un fait contraire 5 1’hypothćse de 1’antagonisme entre le thymus et les glandes sexuellcs.

Sur Torigine et les proprićtćs du principe diurótiąue et chlorurique du lobepostćrieur de 1’hypophyse; Hotoyy R. (Arch. exp. Palh. Pharm., 1943, 202, 219-227). — Les auteurs dćmontrent que le principe de 1'orasthine qui favorise la diurćse et 1’ćlimination des chlorures provient, non pas du lobe antćrieur, mais du lobe postćrieur de 1’hypophyse. L’hypophyse du Boeuf et du Porc est particulićrement riche en principe chlorurique. L’activitć diur6tiquo ne

ęeut ćtre observće que dans 1’hypophyse du orc. L’hormone thyrćotrope ne manifeste aucune activitć diurćtiąue. Tous les extraits antćhypophysaires contiennent de 1’anti-diurćtine. L’ćlimination chlorurće sous l*in-fluence de 1'administration de 1’orasthine, dćpend de la teneur du corps cn chlorures. Si cette teneur est ćlcvće, 1'action de 1’oras-thine est considćrable, si elle est faible, l'orasthine reste inefilcace.

Dćveloppomont mammairo et lacta-tion chez le Rat; Uyldert I. E. (Arch. inl. Pharmacodyn., 1943, 69, 114-125). — Le traitement des Rats femelles non gravides par 1’cestrone ou l’ćqui!ćnine (200-400 ixg par jour) provoque le dćveloppement mammaire, ainsi que la formation du corps jaune. La glandc continue la sćcrćtion lactće aprćs la cessation du traitement.

Sur l’association dos aubatancea cea-trogćnos; Voss H. E. (Arch. txp. Palh. Pharm., 1943, 202, 382-394). — fitudiće au moyen du test d’Allen et Doisy, 1’asso-ciation des diverses substances oestrogćnes (oestrone, cestradiol, dićthylstilbuistrol, dipro-pionate de p-hydroxyphćnyl-hexane-diol-3.4) produit un efTet nettement synergique.

L’action de rhćmatoporphyrine sur la formation dea substances anti-gonado-tropes dans le sang; Rodewald W. (Arch. exp. Palh. Pharm., 1943, 202, 445-448). — Les injections rćpćtćes d’hćmato-porphyrine chez le Lapin provoquent la formation, dans le sang, des principes anti-gonadotropes. Toutefois, aprćsun traitement de six mois par ces injections, on trouve encore dans le sćrum dos substances pro-gonadotropes qui augmentent l’activitó de 1’hormone gonadotrope.

L'aotion de la cystćine ou du cyanure aur les extraits gonadotropea; Bis-chofp F. (J. biol. Chem., 1940, 134, 641-648). — Les hormones gonadotropes hypo-physaires et urinaires (prolan) sont relati-vcment stables vis-&-vis de la cysteinę et du cyanure dans les conditions expćrimentales qui produisent l’inactivation de 1’insuline. Une action prolongćc (24 heures) et un gros exc£s de chlorhydrate de cystćine produisent uno inactivation de plus de 90 0/0 de la prćparation hypophysaire dans les conditions expćrimcntales qui produisent 65 b 85 0/0 d’inactivation du prolan.

Prćparation d’oxtraita rónaiuc capa-bies de rćduire la pression sanguine des animaux prćsentant une hypertension rćnale expćrimentale; Grollman A., William J. R. Jr et Harrison T. R. (J. biol. Chem., 1940, 134, 115-122). — Des-cription d’une mćthode pour la prćparation d’extraits rćnaux capablcs de rćduire la ression artćrielle d’animaux prćsentant une ypertension expćrimentale. Le principe actif est do naturo non protćidiąue, hydro-soluble, actif per os. II se conduit de faęon diffćrcnte des substances dćprcssives connues, non spćcifiąues, que l*on lrouve dans les extraiis organiąues. Ceux-ci sont gćnćra-lernent inactifs dans 1’administration per os et mćme les effets de l’administration par voie parcntćrale sont de courte durće. Sa solubilitć dans l’eau et son insolubilitć dans les solvants organiques le diffćrencient ćgalement de beaucoup d’autres substances dćpressives.

Augmentation de la production de la toxine par le Bacillus perfringens;

Dombos-Kato L. et Illenyi A. (Z. Immll-nilalsforsch., 1943, 103, 216-219}. — On augmente la production de la toxine par B. perfringens, par 1’addition de la vitamine II' dans le milieu de culture de ce micro-organisme au dćbut de Tensemencement.

Diffórences sćrologiques entre les lipides de poumon normal et ceux de poumon intoxiquó par le phosgóne; Ong Sian Gwan (Verslag Amsterdam, 1943, 52, 40-49). — LMmmunsćrum actif sur l*extrait de poumon normal ne prćcipite pas l’extrait de poumon intoxiquć par lc phosgćne; la rćaction de fixation effectuće au moyen du mfime sćrum en prćsence d’extrait corres-pondant est plus prononcće que celle en prćsence d’extrait de poumon intoxiquć. L/immunsćrum actif sur l’extrait de poumon intoxiquć donnę une rćaction de fixation plus prononcće en prćsence d’extrait corres-pondant que celle en prćsence d’extralt de poumon normal, et 1’immunsćrum actif sur fes lipides de poumon normal donnę une rćaction de fixation plus prononcće en prć-sence de lipides correspondants que collc en prćsence de lipides de poumon intoxiquć; ce rćsultat est encore plus marquć si l’on utilise le sćrum syphilitique humain.

Action du rayonnoment a du radon sur la virulence et le potentiel antigćnique du virus vaccinal; Levaditi C. et Pe-rault R. (Ann. Insi. Pasteur, 1943, 69, 139-145). — Le rayonnement a du radon, utilisś 5 des doses supćrieures b 100 ncd. par cm', provoque une destruction totale b la fois de la virulencc ct du pouvoir antigćnique du virus vaccinal, quelle que soit la voie d’ln-troduction du virus irradić, intradermique ou intraveineuse. Ce mdme rayonnement, employć b des doses infćrieures b 100 jted par cm', donnę lieu 5 une certaine dissocla-tion entre ces deux proprićtćs essentielles des corps de Paschen-Borrel, c’est-ć-dire que le potentiel immunogćne persiste, tandi9 que l’activitć pathogćne est presąue intćgrale-ment supprimće.

Action de la protśolyse sur la virulence de la Bubstance nerveuse rabique; Rem-linger P. et Bailly J. (Ann. Insi. Pasteur, 1943, 69, 135-138.) — Lorsque l’on soumet une ćmulsion de virus rabique b 1’action de 1’acide ascorbique dans les conditions phy-siques ou cette vitamine exerce son action inhibitricc des protćases, on prolongc la durće de la virulence d'une durće ćgale quatre fois celle des tćmoins. Ces faits expli-quent la disparition prćcoce du vlrus dans la substance nerveuse, et surtout dans les moelles de la vaccination pasteurienne, par 1’action des diastases prot.ćolytiques dc ce tissu.

Diffćrenciation des protćides de poumon normal et de poumon intoxiquć par le pbosgene au moyen de la róaction anapbylactique; Ong Sian Gwan (Proc. Amsterdam, 1942, 45, 774-780). — On pcut montrer, au moven de la rćaction anaphy. lactiąue, une diffćrence nette entre les pro. tćide9 de poumon normal et celles de poumon intoxiquć par le phosgćne, sur une mćme espćce * animale. Les protćides de poumon lntoxiquć de difYćrentes espćces possćdent un mćmc groupement molćculaire, rormć par 1’action de COC1,; ce groupement molćculaire identique serait rattacnć b une partie de la molćcule protćique pour former une modification superficielle dc la molćcule de protćidc. II cxistc probablement une anaphy. laxie spćcifiąue pour le poumon.

a Augmentation de la production de toxjne par le B. perfringens; Dombos-Ka-to L. et Illenyi A. (Z. Immunforsch., 1943, 103, 216-220). — La vitamine H’, lorsqu’oD l’ajoute au milieu, au dćbut de la culture, augmente la production de la toxine par ie B. perfringens.

*    Les nuclóoprotćides, constituants des cellules bacteriennes; Boivin A. et Vendrely R: (C. R. Soc. Biol., 1913, 137, 432-433). — Absence de relation gćnćrale entre la teneur en acides nuclćiąues des germes et leurs principales caractćristiąues biologiques (virulence, capacitć de multipli-cation in uilro, intensitć respiratoire sur milieu glucose).

*    Teneur en nuclćoprotćides et struc-ture antigónique des Bacteries; Vfndre-ly n. (C. Tl. Soc. Biol., 1943,137, 447-448).-Les variations de structure antigćnique n’ont que peu (1’action sur la richesse des germes (colibacillcs) en nuclćoprotćides.

*    Acćtylation des pseudoglobulines et proprićtćs immunologiąues ; Pśrez J. J.

(C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 441-442). -Acćtylation par le cćtćne. Lc pouvoir prćcipitant spćcifiąue des pseudoglobulines du sćrum de Cheval avec rimmunsćrum homologuc ne dćpendrait pas seulement de tel ou tel groupement fonctionnel (aminę, primaire, phćnol) de la molćcule protćidiąue, mais aussi de 1’arrangement spatial parli* culier de ses parties constituantes.

*    Contribution a 1’ćtude du pouvoir antigćnique dufibrinogeno; Kossoyitch N. et Browaeys J. (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 396). — Le flbrinogćne, prćparć par h mćthode indiquće, possćdc un pouvoir antigćnique puisqu’il provoque la formation d’un anticorps anti-fibrinogćne spćcifiąue de 1’espćce.

Dćtermination de la valeur toxiąue directe de la toxine tćtanique comme exemple de l*utili9ation biomathóma-tigue de la durće de survio; Ipsen J. (Arch. exp. Palh. Pharm., 1941, 197, 536-549).

Le modę d'action de virus injectćs soue formę de substance adsorbće; Pyl G. el Hobohm K. O. (Kolloid Z., 1943, 104, 63-67). — Aprćs comparaison de 1'action du vlrus de la fićvre aphteuse employć en injections immunisantes aprćs adsorption sur hydroxyde d’aluminium, avec ceiui de U toxinc diphtćriąue adsorbće, on arrive ^ 1*

c^nc KAł0n le m°de d’action du viru! adsorbć ost attribuable b une rćsorptio* lenie. I.a stabilisation due b 1’adsorption joue ćgalement un róle important.

Sur la dćsagrśgation du virus de 1»



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