POTTBQUOI PAS ? 1093
POTTBQUOI PAS ? 1093
Un ancien garęon de cafć s’ćtant retirś dans son vil-lage. n’aspirait qu’A Thonneur de faire partie du Conseil de fabriąue et de tróner au banc d’ceuvres de sa paroisse. II ne manąuait pas les offlces, mals 8’ćtant un jour en-dormł pendant la messe d'une grandę fćte religieuse, il fut brusquement rśveill6 par la sonnette de Tćlćvation.
Alors. oubliant le lieu oh 11 se trouvaifc et esclave de ses andennes habitudes, 11 bondit vers l'autel en criant:
— Voilfc... voil&! On y va!
N^achełez pas de poste de T. S. P. sans avoir demandś
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BRUXELLKS - 85. RUE DE F1ENNES. 85 - BKtXELLES 8. rue Van Helmont (place Fontalnas) • Envoi en provłnce
Trois coqs dans une basse-cour: un jeune, un demi-Jeune et un vieux. Ils caressent les poules.
Le tout jeune, trćpidant, abonde en: t hen! heu! heul heu! »; le deuxi£me fait des « heu... heu... heu... 9 espacćs.
Et le troisiśme, d’une voix śraillće, pleine de convoitlse, chante sur un ton tralnard et d’envie
— Qu’ils sont heureux!
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PR1SE ET REMISE A DOMICILE
Un Journaliste transatlantiąue racontait cette petite*hls-toire :
c Un Jour, dit-il. 1’annoncai k trois nćgres que Je don-nerais une dinde k celul d‘entre eux qui Justilierait de la meilleure faęon 8es oplnlons rćpublicalnes.
9 — Je suis rćpubllcain, dit lt premier, parce que les rćpublicains donnent Tćmancipation aux nćgres.
» — Tr6s bienl... Maintenant, Bill, vos raisons?
» — Je suis rćpublicain parce que la Rćpublique a inau-gurś de sages lois.
» — Bravo!... Et maintenant, Sam, qu'avez-vous k dire?
9 — Mói, Je suis rćpubllcain pour avoir la dinde. »
Cette hlstoire, disons-le froidement, pourrait fiire trks franęaise ou tr£s belge, encore qu’elle soit originairement amćricaine.
Les amateurs qui renverront ce bon k R.R. Radio, 10. imp. de 1’Hópital.
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— Mimi, dit Lulu a son petit mari chćri, Je ressens com-me si J’avais une aiguille dans la bouche: ęa me piąue, ęa me fait tr£s mai et il me semble que c’est enflć...
— Fais voir, mon petit lapin aimć, rćpondit le petit marł chćri. Approche-toi de la fenćtre, lćve blen la fcćte, ćcarte tes quenottes Jolies, ou\Te bien la bouche... Ohl c’est cu-rieux, ce point noirl... Attends... n’aie pas peur, Je ne us ferai pas mai... Je tire avec cette petite pince... LA... ęa y est... Oh! mais c’est une ćcharde que tu avais dans la langue!! Ou as-tu bien pu attraper ęa?
— Ah! Je me rexplique, k prćsent! Tu sals bien ąuTiler soir, en rentrant du banquet des Anciens du 390e, tu m*aa dćclarć toi-mćme que tu avais la gueule de bols, mon chćri 1
— As-tu des projets pour quand tu sortiraa dlcl? de-
mande un prisonnier k son compagnon.
— Oui, j*ai Tintention d’ouvrir une bijouterle.
— Pichtrei Tu as un commanditaire?
— Non, mais J’ai une pince!
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— La vie est ainsi faite, que, comme dans toute p bien bfttie, elle se divise en actes et se dćcoupe en scćn Pour elles, ce sont des passages:
PROLOGUE. — Passage de 1’amour k la vie, au moy d’une sage-femme.
PREMIE RE SCENE. — Passage de 1’enfance k 1'adoU cence au moyen d’une femme moins sagę. Passage Tlvoli PREMIER ACTE. — Passage de 1’adolescence k l’&g adulte, par prise de femme et prise de bec. Eniresols cl et embćtements divulgućs.
PREMIERE SCENE. — Scene de jalousle.
DEUXIEME ACTE. — Passage de Ykge adulte k la m* turitć par perte de cheveux, faiblesse constitutionnell desir de femmes plus Jeunes, et paiement de toutes Joies!
PREMIERE SCENE. — Passage k tabac, indiscrćtio yisuelles, travaux d’approche et autr.*s peccadilles.
TROISIEME ACTE. — Passage de la maturite a la vle lesse — passage du Rublcon — g&tisme, retour d’ftge retour de manivelle.
PREMIERE SCENE. — Franchissement du passage nweau — maladies, ataxie, prostatę, etc., les prćcurse du quatri6me acte.
QUATRIEME ACTE. — Passage dans une autre
apDelće « la Mort ». Pleurs, rires, cris de Joie et de tr tesse. Pleurs et couronnes — et un joli petit Jardin un coin bien parisien.