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38. MORELOWSKI M.: Zabytki insygnialne i kościelne XII wieku, związane z Bolesławem Kędzierzawym i ze szkołą Godefroid de Claire. (Les objets dUirt du XII~e ślecie ayrtnt servi <Vin-sU/nes et affectes au eiilte. ainsi que leurs rapports avec Bo-leslas sumom/me le Crepu et Pecole de Godefroid de Claire), Presente dans la seance du 18 decembre 1931.
L?auteur s’en refere a la coimnunication qułil fit le 10 ayril 1030 dans la seance de la Commission pour 1’etude de 1’histoire de l?art. II avait alors insite sur la necessite de nouvelles recher-ches concernant les ąuestions en rapport avec la couronne placee sur le casque de saint Sigismond a Płock et avec la couronne decorant une croix au tresor de la cathedrale de Cracoyie. Voici un bref resume de ces investigations: quoiqu’il continue a sou-tenir la these que nous sommes en presence de couronnes du-cales ayant ete portees par des ducs de la dynastie des Piasts, Fauteur croit indispensable de reyiser Fhypothese de Mr. le directeur Stroner qui les fait remonter a une epoque trop avancee? soit au premier quart du XIII-e siecle, comme il juge opportun de soumettre a un examen critique Fopinion, qui s;efforce dJetablir des liens tres etroits entre ces pieces et Fecole dTHugues dfOignies. Un voyage en Belgi que? de nouyelles reclierclies7 puis les materiaux et les publications les plus recentes parus en 1931 a Fetranger, engagerent Fauteur a apporter ddmportantes modifications a son opinion primitive. Lłauteur qui a profite dans une certaine mesure des indications de Mr. Ferdinand Courtoy, nJa pas tarde a s^perceyoir, surtout a Foccasion de ses recłierches a Tournai, que le style des couronnes se rapproche de celui d’un artiste plus ancien7 soit qu’il manifeste des affinites avec le style de Nicolas de Verdun. La nouyelle edition de la grandę monographie, intitulee »Płock« (1931), composee par Feveque Nowowiejski, contient des rensei-gnements que Fauteur a fournis sur ce sujet, neanmoins plu-sieurs erreurs se sont glisse dans le resume des recherches qu?il a dJailleurs continuees et quJil a exposees dans la communication dont il donnę un compte rendu succinct. On s?aperęut que les rapports avec le style dłHugues d’Oignies et de Nicolas de Yerdun ne sont que des affinites qui słexpliquent par la source commune dont s?in-spiraient certaines ecoles, certaines influences et certains modeles. Apres ayoir reuni d’abondants materiaux en vue d’etablir une