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de St. Jean de Kenty    ,au cours des ages,

Stanislas/et de St. Andrś Bobola a pu perdre/plus ou moins longtenę>s son

territolre, ses biens, son indśpendance; Jamais il n*a perdu sa Fol.

Jamais 11 n*a perdu sa tendre devotion envers la Vlerge Marle, catte

"Reine" pulssante et douce ”de la Pologne", dont 1*image miraculeuae

est depuls des sidcles, dans le sanctuaire de Częstochowa, la aonsola=

trlce des douleurs de toute une natlon et la confidente de ses lndes=

tructibles espórances.

C^łest pourąuoi Nous sonme3 assurd , trds chers Plis et Filles, que des sentiments si solldement ancrós dans vos &nes ne faibliront pas. Nous voulons d^,allleurs esperer que DISLT, dans sa mlsdricorde, ne

permettra pas que l^łexercice de la religion solt entrav£ dans votre

/ inspirdes par les desseins trop connus des ennemls de Dleu, pays; Nous voulons m&me espdrer, malgrd bien des raisons de craindre,/que

la vie catholiąue pourra contlnuer profonda et feconde parmi vous; que

vous pourrez renouveler les cśremonies du culte, les manifestations de

pidtś envers 1'Bucharistle et d*łioxaage a la Royautó du Christ, dont

vos villes et vos canpagnes donnaient rócemment encore le magnlfique

spectaule; que la pres3e catholiąue, les instltutlons charltables, les

oeuvres sociales, 1*en3eignement religieux, jouirotft de la liberte qul

leur est due. C^łest pourąuoi Nous exhortons spścialement vos pasteurs

spirituels a poursuivre, a accroitre encore, leurs initiatives dans le ,Dieu aidant, pourra rester

champ qui &&&&&&& ouvert 4 leur zdle    . (Juelles que soient les

circonstances nouvelles oh ce zdle s *0115)10 i era, le premier devodr de tous,