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pneumocomoses

Les donnees objectives fournies par letude complexe dun groupe de 278 malades issus dun milieu silicogśne permettent aux auteurs de tirer les conclusions ci-aprśs: il n'y a pas de parallelisme absolu entre la durśe de * l'exposition au risque et le degrś de silicose; les modifications radiologiques sont toujours accompagnśes dalterations scintigraphiques. mais quant ś leur degrś. leur extension. leur intensitś. il n'existe aucune concordance. sauf pour la silicose du llle degrś; le type I des modifications scintigraphiques s est revślś le plus frśquent dans tous les cas (la silicose du llle degre excep-tee. ou le type II est prepondśrant); il n'y a pas de correspondance entre les aspects anatomiques, bronchospirometriques. cliniques et Fequilibre acido-basique, sauf dans les cas graves de silicose du llle degrś. Seul un examen complexe, radioscintigraphique. clinique, fonctionnel et biologique peut aider ś depasser le stade des classifications anatomiques rigides et. par consś-quent. ś classer, expertiser et traiter corwenablement chaque cas de silicose.

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CIS 76-1720 Próvalence de la pneumoconiose et de la bronchite chronique chez les travailleurs des fonderies (Prevalence of pneumo-coniosis and chronic bronchitis in foundry workers).. Karava R., Hernberg S.. Koskela R.. Luoma K. Scandinavian Journal of Work. Environment and Health. Helsiński, Finlande, 1976, vol.2, Supplśment 1. p.64-72.27 ref. (En anglais)

Resultat dune etude de prśvalence de la pneumoconiose. de la bronchite chronique et des altśrations fonctionnelles pulmonaires portant sur les 1.000 fondeurs le plus longtemps exposes dans les 20 fonderies de Fśchantillon choisi. La pneumoconiose a śtś diagnostiqu6e par radiographie et la bronchite etudiee par questionnaire; lexpiration maximale forcee et le volume expira-toire maximum/seconde(VEMS) ont ete mesurśs. Les sujets etaient groupśs suivant les habitudes de fumeur et lexposition aux poussiśres. La prśvalence gśnerale de la pneumoconiose etait de 3.8%; la plupart des cas śtaient I6-gers. La bronchite chronique etait plus frśquente parmi les travailleurs des postes empoussierśs; lusage de la cigarette en accroissait la prśvalence. Contrairement ś lexposition aux poussiśres. lusage du tabac alterait egale-ment la fonction pulmonaire. Comme il s*agit dune etude de pr6valence, le re-trait sślectif des travailleurs des postes empoussiśrśs a probablement entrai-ne une sous-estimation de 1’ensemble des effets sur la sante qui ont etś etu-dies.    (25928)

CIS 76-1567 Prevention de la silicose - Recueil de textes rśgle-mentaires.. Edition INRS n°297A. Institut national de recherche et de sścu-rite. 30 rue Olivier-Noyer. 75680 Paris Cedex 14. France. 6e edition 1975. 90p. (En franęais)

Au sommaire de cette brochure; 1) tableau n°25 de la listę officielle franęaise des maladies professionnelles. qui donnę la dśfinition Ićgale de la silicose; 2) textes des codes, dścrets, arretśs. circulaires pertinents au 1 dec. 1975: textes generaux fixant les mesures de protection (6vacuation des poussieres. protection individuelle. surveillance medicale speciale. travaux interdits aux femmes et aux jeunes travailleurs); textes concernant Findustrie (prśvention technique de la silicose. prśvention mśdicale. recommandations concernant les visites medicales, conditions auxquelles doit satisfaire le materiel de radiologie); textes concernant les mines. miniśres et carriśres (prevention mśdica-le. recommandations concernant les visites medicales, rśgles dagrement du matśriel de radiologie, śtablissement des statistiques). En annexe: modśles d'imprimes divers. Table chronologique des textes citśs.    (25897)

CIS 76-1256 Próvalence elevee danticorps antinucleaires dans la silicose des sableurs (High prevalence of antinuclear antibodies in sand-blasters' silicosis).. Jones R.N.. Turner-Warwick M., Ziskind M., Weill H. American Review of Respiratory Disease. New York. USA. mars 1976. vol.113, n°3. p.393-395. 13 rśf. (En anglais)

Parmi 39 sableurs silicotiques. 17 (44%) prśsentaient des rśactions sśriques positives aux anticorps antinucleaires. Les 2 groupes de sujets. positifs et ne-gatifs ś cet anticorps. śtaient bien assortis quant ś l agę. a la race et ś l usage de la cigarette. et assez bien assortis quant ś lanciennete professionnelle et ś la prśsence de granulomes infectieux. Un nombre significativement plus ele-vś de sujets positifs presentaient de grandes opacitśs (selon la classification BIT U/C); la proportion de rśactivitś aux anticorps antinuclśaires avait tendan-ce ś augmenter propotionnellement ś limportance des Iśsions. L'incidence de la cavitation ou de la contraction lobaire śtait analogue dans les 2 groupes.    (25584)

CIS 76-1246 Silicose des travailleurs de la brique et du beton (Ris-ques de silicose auxquel$ sont exposes les specialistes du peręage dans le bśtiment) (Backstein- und Betonbohrer-Silikose (Silikosegefahr-dung bei Spitz- und Bohrspezialisten im Baugewerbe)).. Hodel T. Caisse natio-nale suisse dassurance en cas d accidents. Luzem, Suisse. 1975.43p. 26 rśf. (Enallemand)

A partir de 3 cas de silicose declares a la Caisse nationale suisse dassurance en cas daccidents. chez des travailleurs du batiment employes ś faire des trous et a pratiquer des saignees avec des outils mścaniques dans des murs

de briques ou de bśton. 1'auteur de cette thóse de medecine 6tudie les conditions auxquelles est subordonnś le risque de silicose dans ce genre de tra-vaux: poste de travail, outils. teneur en quartz du beton et des briques, concentrations de poussiśres. durśe d'exposition. Description dśtaillee des 3 cas: rśsultats des examens cłiniques et des anałyses de laboratoire. diagnos-tic. Lauteur conclut ś l’existence du risque silicotique et estime qu‘aussi longtemps que les constructeurs de machines ne sont pas legalement contraints de produire des matśriels pourvus de dispositifs de dśpoussierage. Farrosage a 1'eau et le port dun masque sont les seules mesures possibles de prśvention.    (25533)

CIS 76-1245 L'association silicose sclśrodermie.. Frśneaux B.. Fre-neaux J.. Buyse N., Le Van Quyen H. Nouvelle presse módicale. Paris. France, sept. 1975, vol.4. n°29, p.2087-2090. Illus. 1 ref. (En franęais)

4 observations de sclerodermie gśnśralisee typique. confirmśe par biopsie cu-tanee chez 4 silicotiques. apres exposition professionnelle de 19 ś 37 ans. confirmentquecette associationnest pasfortuite. Faitcaractśristique:la silicose precśde l apparition de la sclerodermie qui modifie les images pulmonaires pneumoconiotiques; il se formę alors des opacites macronodulaires floues, siśgeant particuliśrement aux bases. sans symśtrie absolue. Examen des hypothśses pathogśniques de cette association qui est encore mai connue: l inhalation de fines particules de silice librę declencherait la silicose et. sur un terrain particulier, la sclerodermie apparaitrait; ou bien, ś partir de l agression pulmonaire pneumoconiotique, des phenomśnes immunitaires se dśclencheraient. favorisant linstallation de la sclerodermie. Comparaison avec le syndrome de Caplan-Collinet.    (25492)

CIS 76-1241 Compte rendu des travaux du colloque sur la silice

(Proceedings of the symposium on silica).. Gross P.. Morgan W.K.C.. 0'Neill J.P., Haartz J.C.. Vander Kolk A.L. Leroux J.. Davey A.B.C.. Goldberg S.A.. Raymond L.D.. Taylor C.D., Rosendahl T.E.. Eshelman P.S., Corn M., Lang H.W. In-dustrial Health Foundation, Inc., 5231 Centre Avenue. Pittsburgh. Pennsylva-nia 15232, USA, 1976.177p. Illus. 56 ref. Prix: $-US. 15.00. (En anglais)

Lors de cette reunion. tenue a Pittsburgh les 12 et 13 mars 1975, des repre-sentants de I'industrie. des services officiels et des milieux universitaires ont examine la documentation de base pertinente etablie en 1974 par le NI0SH (Institut national amśricain pour la securite et 1’hygiene du travail), qui abais-sait de 50% la valeur-seuil pour la silice. Des Communications sur la patholo-gie de la silicose. les mśthodes d analyse. la conception de la ventilation, etc. ont śtś prśsentees. Les discussions sont reproduites in extenso. Les partici* pants sont tombes daccord sur les points suivants: 1) il nest pas certain aue les techniques courantes de ventilation permettent d atteindre les niveaux fix6s par le NI0SH; 2) des problśmes d'extrapolation peuvent fausser la rela-tion dose-rśponse; 3) la documentation de base du NI0SH se fonde sur des donnśes insuffisantes.    (25465)

CIS 76-952 Etude des troubles cardiovasculaires des siticotiques par la mesure de 1'onde sphygmique a l'extrśmite des doigts.. Ebi-hara I. Bulletin of the Japan Accident Medicine Association. Tokyo, Japon. 1 nov. 1975. vol.23. n°11. p.536-544.21 ref. Illus. (En japonais)

On s'interesse depuis quelque temps ś la mesure de londe sphygmique ś Fextrśmitś des doigts pour letude de la fonction ventriculaire gauche et des troubles vasculaires. La silicose et bien d autres pneumopathies provoquent des dśfaillances du ventricule droit. Toutefois. d apres des observations clini-ques et certains resultats expśrimentaux. le retentissement cardiaque des pneumopathies implique peut-etre la fonction cardiaque dans son ensemble. Resultats de la presente śtude: 1) de nombreuses manifestations arteriolos-clśrotiques, notamment des ondes trapezoTdales. ont ete observees. ce qui in-diquerait que Fatteinte pulmonaire en cas de silicose est une cause d arteriolosclśrose; 2) maints silicotiques presentent un faible debit car-diaque. avant meme Fapparition de modifications ślectrocardiographiques no-tables. Les indices de debit cardiaque et de Feffet peripherique des pulsa-tions cardiaques. calcules sur la base des ondes sphygmiques. semblent etroi-tement lies ś la fonction pulmonaire. L'etude des ondes sphygmiques mesu-rees ś Fextrśmite des doigts constituerait ainsi un test prścoce utile pour la detection des troubles cardiovasculaires chez les silicotiques. (25294)

CIS 76-648 La valeur de la scintigraphie pulmonaire dans la silicose.. Manu P.. Dumitrescu G.. Muica N., Teculescu D.. Apostolescu R. Archives des maladies professionnelles. Paris. France. avr.-mai 1975. vol.36, n°4-5. p.243-250. Illus. 13 ref. (En franęais)

Etude conduite sur 160 cas. dont 90 cas de silicose pure a divers stades et 70 cas de silicose compliquee. qui a permis d etablir que la scintigraphie de perfusion represente une mśthode adjuvante utile dans la silicose compli-quee. Elle fournit en effet des donnees semi-quantitatives directes sur la perfusion arterielle pulmonaire et. par consśquent. un supplement d'information par comparaison aux investigations de routine (radiologique et fonctionnelle ventilatoire).    (24899)

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