1493627007

1493627007



190 Tntvnux Je Thtorie de* Nombre*

C, ,. Toni nombre pair pruł ćtre reprisenti d'une infiniti de maniłre* comme la diffbrence de deus nombre* premiers consicutifs.

Dćmonstration do 1’implicatlon C,-*C,,. Soit f,(x) = x,ft(x) — x-f 2n(ounest. un nombre naturel domu'-). Comme (/,(!)/,(l),/,(2)/t(2)) *= (2n-f 1,2(2-f 2n)) = 1, ił r&ulte do C, qułil cxiste uno infiniti de nom-bre» naturels x tels que x ot x-f 2» sont deux nombres premiera consicutifs, soit x*=pk, x-f-2» = p, (oii pi dlsigne lo i-lme nombre premier), d’oii 2n = pk+t—pk. Cola prouve quo C,-*C,, (cf. Hardy and Littlewood [10], Conjecture B).

Cl-t. m Mant un nombre naturel donni, U esinte 2wi nombres premiern consicutifs formant m couples de nombres jumeaus.

Dlmonst rat mn de 1’implication C,-*CIit. Soit

/«-»(*) «*+(2»)!<<-J),

/*<(*)“ *+(2m)!(»—l)+2 pour » — 1,2,..., n et

I’(r) - M*)U*)•••/*»(■») •

Soit p est nn nombre premier tol qne p\P(x) pour tafl, l,..., p — l. Comme /'(X) est nn polyndmo on x <le degrl 2m ob le coefficient do xł" est 1, d’apres lo thćor&me de Lagrange la eongruenee P(x) 0 (modp) a au plus 2w racines. Or, eonimo /'(x)    0 (modp) pour x = 0, 1,p— 1,

on on condut que p < 2m. Mai* /*(1) est lYidcmment un nombre impair ot comme plJ'(l), on trouYe p> 2. D’autre part, d'aprcs p < 2m on a p|(2m)! i pour i entier ot comme p|P(2), on troure p;2*", ce qui est im-possible. Les binómes/^*) (j = 1,2,..., 2m) satisfont donc a la eondition S et il rósulto de C, qu’il oxisto uno infiniti do nombres natnrels x tels que f/s) (j= 1,2,2m) sont des nombres premiera consicutifs, /<<*) “ Pk-H-i ponr j- 1,2,...,2*. On a donc P*+*_,-= 2 pour i ■ 1,2,..., w et 1’implication C,-*C14 se trouve dlmontrle.

On pout dlmontrer pareillemont qu’il oxi»to ponr tout m naturel •tm-fl nombres premiera consicutifs dont les 2m premier* et de mlme les 2»w demiers donnent m eouples de nombre* jumeaux.

V. Thlbault a dlmontrl [18] que si « > 1 termos d’une progression arithmltique do raison r sont dos nombres premiera > n, alors r est di-visible par tout nombre premier < u. Or, nous dlmontrerons que c, entralne la conalquence suivante:

C, 4. Si r est un nombre naturel dirisible par tout nombre premier < ou n est Mn nombre naturel donni >1, il esiste une infiniti de systbne* de n nombres premiers ronsieutifs formant une proęression arithmitiąue de raison r.

Dlmonst rat ion de 1’implication C,-*C14. Soit /,(x) = x-f,y pour i «= 0, 1,2,...» n— 1. S’il existait un nombre premier p tel que

PA1)—f1-%(1) Pour 0, l, 2, l, il rttulterait du tWortme «le Łttgnuip que p < w. <lonc p|r. D’autre parł. on a

P i/«0)/i(l)»/.-.(l) = 1 (1 + r)(l + 2r)...(l + (i»—l)r)

et vu quc p|r on trouve p|l, ee qui est impossible. La condition 8 est donc Ratisfaite et. il rlsulte de C, qu’il existe une infinitl de nombres naturels x tels que les nombres f,[x) (i — 1,2,..., ») sont. des nombres premiers consleutifs. Nous avons ainsi dlmontrl que

En particulier, pour w «■ 3, il rlsulte de C,.4 qu’il existe pour tout nombre naturel A une infinitl de nombres naturels k tels que p.,— pm. pk+t~Pk+1 = 61- I1 0,1 r^sulte qu1il existe une infiniti de progressions arithmltiques formlcs de trois nombres premiero oonsócntifs. Or, d’aprvs L. E. Dick son ([61, p. 425) Moritz Cantor a Inond 1’hypothlM ([2]) que trois nombres premiero eonsleutifs dont aucnn n’est le nombre 3 ne pouvent pas former de progreuion arit limit ique. En 1955 A. Schinzel a remarqul que cette hyjiothlse est en dlfaut puisquc 47, 53 et 59 sont trois nombres premiera eonsleutifg formant une progression arithml-tique de raison 61. Parmiles nombres < 1000 on tn>uve plusieura telles progressions dont les premiero termes sont respeetivement 151, 167, 367, 557, 587, 601, 647, 727, 941, 971. Les nombres 199, 211 et 223 et pareil-lement les nombres 1499, 1511 et 1523 forment des progressions arithml-tiques de raison 12 eomposles de nombres premiero consleutifs et les nombres 251, 257, 263, 269 et 1741, 1747, 1753, 1759 forment des progressions arithmltiques de raison 6 eomposles chaeune de quatre numhrcs premiero consleutifs. D'aprls (',, (pour 1»4) il existe une infiniti de telles progressions.

Nous dlduirnns maintenant de 1’hypothlse H la consląuenee suivante: (’,. a, b, c etant des nombres naturels tels que (fl, b) = (fl, c) = (5, c) = 1 et 2 abc, Vfquation ap—bq c a une infiniti dr Solutions en nombres pre-pniers p et q.

(Cette hypothlse a Itl Inonele par Flardy et Littlewood [10], p. 45, Ponjecture I)).

Dlmonst rat ion dc Pimplication II-»C,. a, b, e Itant des nombres naturels tels quo (a, b) = (a, c) ■ (b,c)    1 et 2 afte.il existe, on

le sait, des nombres naturels r et 1 tels que ar— bs ~ c. Soit /,(x) ^ ft.r-ł- r, /,(x) =    on a done /,(x)/t(x) = aAxł+(ar-ł-!w).r-f rs.

S’il existait. un nombre premier p tel que p !/i(x)/,(x) pour tout entier x, on aurait (pour i = 0) p\rs, done (pour x •- ± 1) p|a5±(ar-f bs), d’o(l p\2ab et p|2(ar f 6»). Si Pon avait p » 2, on aurait, d’aprte p\rs, 2|r on bien 2,s. Si 2|r, on ne peut avoir 2|«, puisqu,alors il viendrait 2|«r±bs, done 2|o6 et 2|c, eontrairement a (a6,e) = 1. Donc, si 21r, s est. impair

1

[Cette reinarqoe fut fsite plus lit psr W. II. I.ond; voir R. D. Carmiehael, Solf oh primr numbrri, Ainer. Math. Monthlr 27 (1920), p. .1).



Wyszukiwarka

Podobne podstrony:
Une stanon de mesure de lensoleillement en Egypte comme a la fois attirantes et un peu mysterieuses
374 COMPTES RENDUS 2 Lcs problfcmes dóbattus sont nombreux et ils portent sur une longue póriod
374 COMPTES RENDUS 2 Lcs problfcmes dóbattus sont nombreux et ils portent sur une longue póriod
— 309 — (c) Si£ = <f (4, Tj) etaest un nombre initial (ou, en generał, une puissance de to), alor
Lo Serie 100 o subi, tout comme la Mini de nombreuses evolutions au fil des annees. Petite
I e c c i ó n 5 2 a] Di el nombre de los miembros de la familia Chicote. W> Es el marido de Ana.
289 PROBLEMES D* IMMUNOLOG JE Pasricha, De Monte & Gupta (1931) ont ćprouve Pactton des bactório
s9 (8) I I Transkrypcja Lekcja 2-3 Nathalie: Non, je suis de Cauteret, dans les Pyrenees. Laurę:
s9 (8) I I Transkrypcja Lekcja 2-3 Nathalie: Non, je suis de Cauteret, dans les Pyrenees. Laurę:
270    SAINTB-ANNR DAUftAT rcprćsentations populaires ont persiste chez nous, dans Je
<£? MAKK JE EIGEN HULP-PIET! (daarvcor heb je ook de Studio Stift Aankleedjongen nodig!) cadeautj
bibliographie CIS CIS 80-951 Recherches eapśrimenfales sur Je role de differenfs mineraux dans la pa
63 changement pour cause de sante, mais la vraie cause de sa dćmission est son besoin d*Stre librę :
BLZ24 Bij zon en regen De waimte van de zon... Wie denkt da.u nou niet aan ais je aan de zomer denkt
lćopard et je continuais de lui lirę les mille et une aventures de son pere. Un soir, je revenais av
Fatmosphere se detendit. Bień sur, ils me regar-daient par en dessous, mais pour les rassurer, je nr
16 SIMONE : Parce quc de un, je viens de m’y coller et croyez-moi, il en a au moins pour une heure a
Archives diocćsaines - 188 - esl alle, ca nous laissunt au inonde. Je inćtonne de m y trouverencore.

więcej podobnych podstron