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Dans 1’etude de la relation on aura au lieu du lemme 6 une proposition analogue:
24 (7"). Si ni -f-p O m -f* q, il existe des nombres n et pj que p = n —(— pv n <> q et ni + p, <> m.
Moyennant le lemme precedent, on peut arriver a une serie des theoremes analogues a 18, 19 et 20.
25 (T). Lorsque m -(- p <> ni -f- q et m<!q, alors pOq.
26 (T). Lorsque ni -f- P m -f- q et q<*m, alors p<*m.
27 (T). Lorsque m + p <> m-{-alors p <> m.
28 (T). Lorsque /r.m-f-p (Ar —f-1) - ni alors p<>m-ł-q.
II est a remarquer que le signe peut etre partout dans
les theoremes 13 et 17 — 23 remplace par (d'ailleurs, dans 18 on peut conserver la condition: m q et dans 19 — q ^ m). En ce qui concerne les relations reciproques entre les inegalites: p <C q et m -f* p <C ni -f- q, les theoremes suivants sont a signaler: 29(7'). Si m-j-p<q, alors (k -f* 1) • ni 4* p < k . m -f- q.
30 (T). Pour que Kon ait: m -(- p < m -f- q, il faut et il suffit que Kon ait: ni -f- ni -f p< ni -f- m -f- q*
31 (T). Si des deux nombres: p — m et q — m, un au
moins existe, les conditions: p <C q et ni -f- p < m q sont equi-
valentes.
Dans le th. precedent le signe „<w peut etre remplace par ou
32 (T). Pour que l'on ait: p < 2m, il faut et il suffit que l'on ait: m -f- p < m -)- 21U.
Das ce theoreme, le signe y,<” peut etre aussi remplace par „>w ou
33 (L). Lorsque m -f- p < nt -f- q et q N0, alors p < q.
En passant au probleme de Paddition des inegalites, notons les theoremes suivants:
34 (r). Si p<q et le nombre Cardinal n—m existe, on
35 (r). Si p < q, alors m -f- p < 2m —f— q; en particulier: m + p
36 (T). Lorsquem<n et p < q, deux au moins parmi les nombres m, u, p et q etant des alephs, alors on a: m-f-p < n -f- q.
37 (7'). Lorsque ni<n etp<q, ou parmi les nombres m, n, p et q un au moins soit est egal a K0, soit n’est pas trans-
fini, alors on a: m -(- p < n -(- q.