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Les raccs polaire* ne sont point des pelils liommes: cc sont des liommes dunc taillc plus ćlevee qui se sont affaisses. Cela est sans donle du ce quc ces hommes ifonl point trouve dans leur nourriture, presque entie-rernenl formee de poisson et dc graisse, une quantiie sulDsanle de phospliatc de chaux pour donner a leur S)'sienie os$e»x la resistancc convenahle : la pesanteur, agissant sans relache, a diminuć leur liuuleur sans leur faire rien perdre sur leur largeur, el c'esl cela qui les rend hideux et difforines, car un petit horumc pour-rait 6lreaussi bien fail quun grand. Cesi aussi cela qui fail que che/ les Ksquimaux, les pommettes des joues paruissenl encore plus saillantes que celles de la race inongole eu generał.

r i:poqic.

Rryion moyt»\ne de C Atie.

Les Hasques , trop conrageux pour dcmeurer eter-uellemeul dans les region* polaires, sont revenus vers le Sud; ils out passe entre la mer d’Aral ou desAigles, Aranoa, et cette immense chalne de inontagnes qui enYcloppe la Chiue et la protege contrę les invasions etraugeres.

Cest dans celte region quunc partie des Kscualdu-nais, se croisant avec des Mongols, et peul^ełre pos-lerieuremenl au depart des Basques pour łe Caucase, oni donnę naissance a la race iurque, qui sesl bcau-