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basque ce nom, qni est compose et «|ui doit ćtre si-gniticatif.

Je n’hćsitepoint a direquece nom est d’origincbnsquc: la premiero partie, gada, veul sans aucun doute dire gmrrier. \jc reste peut elre inlerpićtć de diverses raa-nieres; mais il en est unc qui 1’cmporle sur les autres. Si l*on employait deux r au licudune, on aurait Guda mak arri; guerriers qui combattcnt a coups de pierre; de guda, guerrier; mak, coinbaltre (racine perduede la langue basque); arri, pierre. Si lon songe aux ha-bitanls des ileś Baleares, dorigine escualdunaise, qui ćtaicnl si rcdoutables parladresse avec- laąuelle ilslan-ęaient des pierres au moyen de la frondo, ćvenement oonsacre par Thisloire et conscrve dans Ic nom menie de ces Ileś, l’explication du mot gudamakari dcviei>-dra trćs-probable, si elle ne doił elre consideree corn-me lexpression dc la verile.

L’avenir donnera unc solution certaine i¹! celte qnc$-tion; car il cxistc une Bibie en gudamakari: si je puis me la procurer, il rac sera hien facile de savoir si elle est cn langue Lasquc.

V F.P»4f HF.

Arriv/e des Escualdunair en F.tjKujnr.

Les Basques, sans cessc harcclćs par les pcuples de la region meridionale ct occidcntalc dc 1’Asie, onidu abandonner liberie cn traversant lc Caucase. L’ćpoque dr eette emigration remonterail a rpiinze sićcles avant