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k l’ćgard deleurprince rógnant(voir l’annexe III). Plus loin, ilmontre qu’il aurait eu, & Vienne, a la meilleure occasion de la contraindre & liąuider le premier compte sous le marąue % (c’est-£t-dire celui en langue grecąue), alors qu’il me l’a remis, mais moi, j’śtais alors accablć d’affaires et occupó par le voyage de retour k la commission », dit-il. Et Kirlian prie Herke-lius «d’obliger cet homme & payer des dśdommagements, et, s’il n’y consentait pas, k le contraindre moyennant 1’autoritś du prince rśgnant* (voir l’annexe III).
Kirlian a envoyś encore deux autres lettres k 1’agent d’Autriche k Bucarest117 et par sa tentative de se dśfendre, il porte de graves accusa-tions contrę Rhigas et il demande & Merkelius que ce demier soit surveillś afin qu’il ne 8’enfuie pas.
^ En conclusion, nous pouvons affirmer que dans ce conflit, il n’y a pas seulement Kirlian qui soit coupable, mais aussi Rhigas, qui a satis-fait la cupiditś de Kirlian, dans 1’espoir que,de cette manierę, il rśus-sisait k toucher ses appointements. Rhigas reconnait sa faute en ćcrivant ceci: « la vaine espćrance que j’avais conęu de recevoir mes gages de 8 mois me determina de me faire 1’organe de sa mśchancetć, mais je fus trompć, car lui, ilest la limedAesope jetće au milieu de la boutique du 8errurier, de faęon qui quinquonque la leche, mangera sa langue * us.
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1790 Matou 28
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U7 G. Lałoś, op. ett., p. 6—9.
118 Ibidem, p. 6.
* J’ai respectć 1‘ortographe du texte.