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contenus dans les plantes fratches et sćches, aprćs 3 & 6 mois de conservation. Considś-rations sur les besoins alimentaires journaliers des animaux domestiąues.
La chimifl de 1'altóration des matióres grasses. XIX. Ł'amertume de l’Avoine et son activitó antioxygene vis-a-vis des matióres grasses; Taufel K. et Hothe H. (Felłe u. Seifen, 1943, 50, 434-437). — Des essais systćmatiques ont montrć que raltćration qui dćtermine ramertume de la farine d’Avoine ne diminue en rien son activitć antioxygenc vis-ó-vis d’huiles d’0!ive ou de Baleine. Les teneurs en peroxydes ont ćtć dosćes au moyen de thiosulfate et divers graphiques donnent, en fonction du temps, les rćsultats de sćries d’expćriences d’auto-oxydation efTcctućcs, avec irradiation ultra-violette ou a la lumióre diffuse, en prćsence de farine d’Avoine, d huile d'Avoinc ou du complexe actif isolć.
* Le remplacement des huiles de foies de Morues. Analyses des huiles de foies de poissons des cótes franęaises de l’Atlantique; Dkmangb G. {Buli. Tran. Soc. Pharm., Bordeauz, 1943, 31, n° 2, 49-52). — Les constantes des huiles de foies de Raie, d’Ange de mer, de Chien de mer, de Reąuin pćlerin, dc Merlus, de Poissons de chalut divers, sont trós proches de celles de 1’huile de foie de Morue.
* L'oxyde de titane dans les affections gastro-intestinales; Rachet J., Busson A. et Rosey J. (Arr.h. Mai. Appar. dig., 1943, 32, 46-50). — Valeur commc produit dc remplacement du sous-nitrate de Bi.
* Le mócanisme d’action des ferments lactiques et leur eon troi e; Puntoni V. (Ann. Igicne (sper.), 1943, 53. 125-127). — Les ferments lactiques agissent par la lacto-flavine qu’ils renferment; ils sont aussi actifs morts que vivants. Le contróle de leurs prćparations devrait donc ćvaluer, non la vitalitć, mais la puretć de ces prćpa-rations.
* Les arsónobenzónes, leur compo-sition, leur toxicitó. Y a-t-il lieu de fixer pour ces produits une limite d’uti-lisation? Une nouvelle cause de toxicitó;
Myttenaere P. de (Buli. Acad. roy. Mtd. Belg., 1942, 7, n» 7, 390-421). — Si les nćo-arsphćnamines sont stables, les sulfarsphć-namines ne le sont pas entiórement, et il serait bon qu’une ćtiauette indiąuat la datę de leur fabrication. La limite fixće par la pharmacopće pour la substitution mćthylóne bisulfitique dans la nćoarsphćnamine doit ćtre maintenue. Les produits qui ont satis-fait a 1’essai chimique doivent ćtre soumls au contróle biologique.
Le remplacement des huiles de foies de Morues. Analyses des huiles de foies de poissons des cótes franęaises de l’Atlanti(rue; DeMange G. (Buli. Soc. Pharm. Bordeauz, 1943, 81, 49-52). — Analyses des huiles de foies de Raies, d’Ange de mer, de Chien de mer, d'huile de Merlus dćstóarinće, de Requin pćlerin.
Grandeurs et servitudes industrielles. Application a 1’industrio chimiąue phar-
CHIMIE BIOLOGIQUE
maceutiąue; Penau IL (Pharmacie, 1943, 1, 164-167 et 189-195).
L’industrie des produits opothóra-icjues devant les difftcultós actuelles; hoay M. (Pharmacie, 1943, 1, 222-226).
Ćtude sur la próparation des infu-sions. L’infusion d’Ipócacuanha; Schni-derschitsch N. (Arr.h. d. Pharm., 1942, 280, 549-361). — La Pharmacopóe allemande (P. G. 6) prescrit de sćparer la drogue de 1’infusć « aprćs refroidissement ». La durće de ce refroidissement est indćterminće. L’auteur a constatć qu’il faut 2 heures, dans les conditions ordinaires, pour que la tempćrature de 200 a 250 cm* d’une infusion de racine d’lpćcacuanha k 1/200 s’abaisse de 100° a 30°. Si on filtre au bout de 30 mi-nutes seulement, la teneur en alcaloides dissous est de 10 0/0 infśrieure k celle que contient 1’infusć filtrć aprćs refroidissement complet. La substancc filtrante peut adsorber les alcaloides; la meilleure est le coton moulllć. La teneur en alcaloides de la dćcoction est supśrieure k celle de 1’infusion.
Presence d’acide nicotinique et d’amide nicotinique dans les plantes módicinales; Roli.f.ri F. (Arch. d. Pharm., 1943, 281, 118-124). — Dosages de 1’acide et de 1’ainide nicotiniques dans les infusions de 20 drogues par la mćthode dc Ritscrt (Klin. Woch., 1939, 27, 934). La teneur en acide nicotiniąue total varie de 0,12 mg k 0,29 mg dans 500 cm* d’infusion k 1 /20. Ces doses sont trop faibles pour exercer unc action vitaminique apprćciable.
Les lipides de u Veratrum album »;
Pcf.thke W. et Austf.r F. (Arch. d. Pharm., 1943, 281, 97-118). — fitude comparće des rćsultats d’analyses des lipides obtenus par extraction k 1'ćther ct ó 1’ćthcr dc pćtrolc de diffćrenles parties vćgćtatives du V. album: racines, rhizome, base des feuilles et graines. Certains ćchantillons ćtalent conservćs depuis 1935; les autres ćtaient Iraichement prćparćs. Les lipides analysćs se composent de glycćrides et d’insaponi-flablc. Les acides gras comprennent les acldes stćarique, palmitiuue, olćique et linolćique, ce dernier en forte proportion.
Appreciation des produits de sulfona-tion des huiles de schiste riches en soufre; Heichert B. (Arch. d. Pharm., 1943, 281, 140-143). — L’activit6 thśra-peutique de 1’ichthyol et autres prćparatlons sulfonćes solubles dans l’eau des huiles de schiste ćtant due aux t sulfones * formśes au cours de la sulfonation, 1’auteur propose d’apprćcier ces produits en se basant sur les pourcentages de sulfones, de S des sulfones et sur un «indice de sulfones » ćgal au produit des deux premiers chiffres. Les sulfones sont dćterminśes par extraction k 1'ćther d’une dilution au 1/2 du produit et pesće du rćsidu dessćchć k 100°; le S des sulfones est dość par la mćthode de Carrius. Les rćsultats sont rapportćs au produit sec. Un tableau donnę les chiffres pour quelques produits commerciaux.
A propos du principe actif du Gui; Ja-
risch A. et Richter H. (Arch. exp. Path.
1945
Pharm., 1940, 195, 89-92). — Les auteurs dśmontrent que raction hypotensive du Gui est due au principe cardioactif isolć a 1’ćtat pur par Winterfeld.
Acótylsalicylates de magnśsium et de calcium; Erach K. (Arch. d. Pharm 1943, 281, 145-170). — Misę au point des techniques de dosage des acides acćtyl-salicylique, salicylique et acćtique, libres et combinćs, dans les prćparatlons pharma-ceutiques d’acćtylsalicylates de Mg et de Cs Des analyses cfTcctućes, il ressort que, a l’exception d’un sel de Mg qui renfermait 86,84 0/0 d’acćtylsalicyiate dc Mg a 4H,0. les prćparations examinćes sont dćcomposćei et ne constituent pas des corps chimiquement dćfinis. Dc mćmc, les acćtylsalicylatcs de Mg et de Ca prćparćs selon le systeme Beilstein n° 1059, sont fortement dedoublfe.
Signification biologique des deux mo-difications cristallisóes de 1’EleudroD (Sulfathiazol); Hecht G. (Arch. d. Pharm.. 1943, 281, 186-189). — Les deux modifi. cations (hexagonale F. 175°, prismatique F. 200°) ne prćsentent aur.une diffćrence aux points de vue solubilitć, vitcsscs de dissolution et de rćsorption chez Thomme; elles ne sont donc pas thćrapeutiąuemenl diffśrentes.
Pour la connai9sance des constituants de l’if; Merz W. et Preuss R. (Arch. d. Pharm., 1913, 281, 205-216). — Dćtermi nation des teneurs en taxine et en taxica-toside a diffćrcnts stades dc la vćgćtation et ćtude des proprićtćs de la taxine. Lei recherches font ressortir que le glucoside taxicatoside est vraisemblablement en reła-tion gćnćtique avec les tannins a catćchol de 1’if, mais non avec 1’alcalolde taxine.
Sur la próparation de l’extrait de Fougere; Maizite J. (Arch. d. Pharm.. 1943, 281, 217-238). — £tudc des conditfions pratiques nćcessaires pour prćparer uo extrait de Fougćre actif: ćpoque de la rćcoite, espćce botanique, partie vćgćtale, procśdf d’extraction, etc.
Contribution a 1'anesthósie locale et gónórale; Ritsert E. (Arch. d. Pharm., 1943, 281, 239-240). — Des poissons baignant dans des Solutions de phćnolsulfonatc de p-aminobenzoate d’ćthyle (Subeutine) sont complćtement anesthćsićs en quelques se-condes. La concentration en anesthćsique nćcessaire dćpend du poisson en expćrience. Celui-ci reprend sa vitalitć quand on le replonge dans 1’eau pure, móme aprćs efre restć quelque temps (jusqu’a 1 heure 1/2! hors dc l’eau.
Nouvelles recherches sur rindicevolu-mótriąue (Raumzeihl) dans ranalysa des drogues en poudre; CEhm G. et Buzek 7. (Arch. d. Pharm., 1943, 281, 201-205). — Application de la mćthode dćcrite prćcćdemrnent (Ibid., 1941, 279, 134) i quelques drogues en poudre : Rhubarbe. absinthe, digitale, cola, quinquina et Ger.-tiane. L’indice volumćtrique constitue 'jne constantc caractćristique dc chaque drogue pour une flnesse (tamis) donnće.