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puis se reduisent a un cordon rivulaire large de quelques metres au dęła du km 20. Les especes rencontrees sont Rhizophora racemosa, Rhizophora harrisonii, Rhizophora mangle et Aoicennia africana (BERTRAND 1993).

elques yaleurs de biomasses de


Pour ce qui est de la faunę inyertebree, le defaut d'etudes sur les estuaires de Guinee nous conduit a citer les seules donnees disponibles, relatives a la zonę cotiere. Ainsi CHALOVENKOV & DIALLO (1988) donnent qu

zoobenthos rencontrees sur le plateau Continental en saison des pluies (tableau l-II):

Tableau l-II: Biomasses de benthofaune sur le plateau Continental guineen, cbapres Chalovenkov & Diallo (1988)

Taxon

Valeurs de biomasse rencontree a la cóte

(9-nr2)

Polychaeta

4-5,5

Bivalvia

8-33

Natantia

0,7

Amphipodea

0,34

Ophiuroidea

8-29

Gastropoda

27

Macrozoobenthos total

100-135

Ces yaleurs se situent bien au dela des yaleurs connues sur le plateau Continental au large de la Cóte d'Ivoire, a savoir 1,5 a 18 g.m-2 (LE LCEUFF & INTES 1993) mais Tabsence de precisions sur ces donnees guineennes ne permet pas d'approfondir la comparaison.

Quelques indications taxonomiques sur la faunę inyertebree et la florę littorales sont donnees par MARCHAL (1960), qui remarque Tinfluence nette de la dessalure et de la turbidite sur la composition specifique du littoral en Guinee, comparativement aux pays adjacents.

La biomasse de zooplancton a ete estimee a 560 mg.m^ a Boffa en saison seche par KLISTOVA (1988), pour un peuplement constitue majoritairement de Paroocalanus scotti. La production primaire de la zonę cotiere a par ailleurs ete estimee au cours de la saison seche par YANCHILENKO et al. (1988); les yaleurs sont comprises entre 284 et 400 mg C.m‘2.j_1 (moyenne a 330 mg C.m’2.]'1). Ces auteurs fournissent par ailleurs des yaleurs pour les concentrations en phosphates, nitrates et silicates dans les zones estuariennes de Guinee, a savoir 0,1-0,2 mg.h1 ; 0,1-0,5 mg.h1 et 5-60 mg.l"respectivement. YANCHILENKO et al. concluent a une "forte productivie primaire des eaux cótieres -environ 50 fois superieure a celle des eaux oceaniques-" sachant toutefois que la production primaire des zones estuariennes dans le monde est comprise entre 190 et 1650 mg C.m"2.]'1 (BOYNTON et al. 1982) ; ils demontrent egalement un "deroulement tres intense des processus d'utilisation et de regeneration" des nutriments.

l: Presentaiion generale.

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