Et pour LTrikc maintenant, qu’il pretendc, qu’elle ava;t mi mc Pimention, qu’clic aurait pu asoir 1'intcmion dc mc ner des ac-tions ccn:rc l'avis des autres. C'cst complćtemcnt dingue — et cela corcespond tout a fait a la ligne qui est suivie mainrenan; dans un bul dc rropagar.de : tensions. et;. Toutc celta Helion qui doit legitimer lc mcurtre d'Llr;kc, laffirmation qu’il wista.: des tensions c’cs: ur.e hisio::? qui rcmonte —a ee que dit Muller ici. jusqu’a Hac:l;ourg. jusqu'a Porganisatton du groupc cr> 1971-1972. tour cela est toutc une ccnsnueuon qui ot mon-trćc ici, dans l‘uaique but de Ićęitimer !e tr.curtre...
PRlNZlNti. — Bon. je veux vous dire maintenanr que sos ju-gements de valcur et sos opirtions son: sans objet ici. Toutc votrc affirmation comrr.e quoi i! y aura:: eu un raeurtre. je ue 1’acccpte en aucun cas. Ccci ndus amenerait a devoir prendre des mesures d’ordrc.
— Bień sur, ii y a cncore un point sur Berlin ou Muller prć-tend qu’Andrea» aurait ordonnć 14-bas des altczuats ou mem: qu’il y aurait pousse des gens, je ne connais pas esacifemcnt la formulation. C’cs: absurće. parce que 1’action contrę les com-mandants etan juste avant sa reaiisation. II n’y a donc pas eu du tcut de discusston sur !cs aciions a Berlin. Si Muller di: cela. cela nc peut que signifter — puisqu’il a deja park de cette ac-tion contrę Ics commandants allies dans lc Stern, ci qu’il la con-naissait. mais pas dans les details concrcts — que par cette af-firmation la ligne po!irique dcvait tire brbee, que fon veut arri-vcr a eliminer complćtemcnt !a politiąue dans ces construtrions, ct ćvidemmcat au proces. C’est tout ce quc jc vois au sujet de ces aciions.
OUESRON Di: L'4V0CAr TEMMINC. — ... sur Ie fait quc Muller. le tćraoin de la courcnne. a affinne que Fattaque contrę Springer 4 Hambourg aurait ćtć concuc et prćparee par lilrikc Mcinhof.
L’Acussauon fćdćralc contcste la ąuestion a causc dc 1'cm-ploi du terme «tćmoin de la ęduronne ».
L’avocat Temming contir.ue :
Ma ąuestion : sais-tu si Ulrike etait au justc 4 Hambourg. 4 cette ćpoque. et s*iJ y avait des tensions entre Ulrike ct Andreas sur ce point ou sur d’autres points ; et comment ćtait 5’une manier? generale leurs rclations ?
— J'ai dćj4 dit quetquc chose 4 ce sujet, tout-a-l*hcure.
qu'il y a cu unc crinquc gcrsćrale aprćs cette action, c*est-4-dire entre tous...
Prinzing 1'imcrrompt:
— Nous ae vouloas plus entcnclro maintenant dc rćpćtitions ici.
— Mais cnfin arritez. vous cc savez inłtr.c pas eneore dc quoi jc vcux continuer a parler, maintenant...
Cc qu‘il vcut c’cst unc prćosion. jc vais donc, pcul-ćtre rc-peter lc fcnd dc !a questicn. Ces: ce que j’ai.dit tout a 1'hcure a ce propos qu’Ulrike y es: donc partie, a ccttc ćpoquc. po ar eiucidcr Ics fails et fonnulcr ensuitc unc dćciaration sur la base de ccr resultats concemant las faits i Hambourg. Plus c.xactc-men*, cela s’csi passe ainst: dle ctait a Berlin, ci au milieu du mois dc mai environ, d:e est allae 4 Stuttgart. Eile ctait a Berlin a causc de ia pfeparation dc l’en!evefnent, a la planitication. et a Porganisation duqueł clic panidpait.
Ensuite, elle est aliie a Stuttgart, pour faire un autre :ravaii • qui ćiai: impet unt. Et si elle l’a fait, c’cst parce qu'clic savaii. beaucoup la-dssus, qu’eile savait tres bicn lę faire. LI s'ag*ssait d’cbtct;ir du materie! pour !a discussion dans lc cadrc de cc que faisait Ulfikc. 1'organisation de Finfonnaticn sur lc plan Internationa!. Ccst-a-dire qu’clle a cssaye dc faire connaltrc le pro-cessus dc discussion qui cxistait dans la gauche, ct ccci a 1’echc-lon International avec des groupes a Tetranger. A ccttc epoque, ta discussion sur la gucrilla dans les entreprises etaii actueile. En Italie, il y avail des tematives de ce genre, unc ceiiaine tacu-que. qui est possibłe en Italie du fait des conditiors diffćrentig — mais nous disons que cela n'es: pas pcssible ici ct. c’est cela qu'el!c vculait faire a Pćpoąue. plus prerisćmcm. organiscr tout !e proccssus de discussion sous cct aspcct. dans la perspcctive, d‘unc strategie continenrale. CTetait lc but de son voyage 4 Stuttgart. Je crois qu’Andreas a appele a Stuttgart tout de suitę apres I*attentat de Hambourg. alors quc ia critięue s’est aussitd: ććdenchće chez nous, elle est panie aussitót 4 Hambourg pour mettre cela au dair. Cest a insi que cela s*est passe, je crois... par L* j’ai en mćme Łemps reportdu 4 la question, 4 savoir s’il y a pu y avoir des divergcnces. ou bicn que sais-jc mol ? des frac-tions. Ces faits montrent tres bier, tres dairement quc tout cela nc tient pas debout.
Ł*avocat TEMMing. — Unc autre question. Elle.conccrnc les declarations du ternom de 1’accusation Gerhard Mtlller, qui af-