criuąue, toutc reconnaissancc du contc.Me qui camouflc les con-tenus matćricls dc la rćprcssion. ct ta transcendancc dani la reprćscntation critiąue.
Aucunc dc nos rcctifications n'est passćc —
ni Ic fair qu*aucun dc nous r.'a janiais cu vingt-cinq ou vingt avocals: autrcmcnt dii Ic fair quc Ic probieme n'a janiais ćtć la reduction du nombrc d'avocats a trois — ccci n’avait qu’unc fonciion de propagandę dcstinće a nous faire passe: pour des priviL*gies c: 4 masquer Ic fan qu avec 1'inicrdiction d‘une de-fer.se colleciisc o la lor desciusion des avocats, il s‘agissaii de rcadrc les ccllules impcrmeables —
de crćer une situation de dćieniion qui. si e!!e ne remplissait pas fonr.cllcment les couditions dc la peinc dc mort — n’cn est pas differente matćricllement;
ni Ic fait que Ic message qu’A*ndreas aurait adresse i Hanna Krabbe et que Ics fi ics auraiem trouve dans la corbcillc a papier — n’a pas existe. II y a eu un papier adresse a Gudrun. Ulrikc et Carmcr. Roli, qui dar.s !a R.A.F. porte lc nom de Hannę, et il ćtait Ićgal. car Carmen Roli etan 4 Stammheim, quand le papier a ete trouve, ci 4 t'epoque. nous av;ons le droit de nous rencontrer, avant que Prinzing ne nous ad 4 nouveau. trois mois avant rouvenurc du proces, fait totalenent isoler afin dc preparer le procćs pour ses buts : briscr les prisonniers. Buback sait, par le matćriel saisi lors des rafles faites dans les ccllules. que Carmen Roli s’appeUe Hannę dans la R.A.F.. qu’clie ćtait 4 l'epoque 4 Stammheim et quc nous avions legaleroem le droit de nous ćcrire. Les invcntions de criminologues vendues par riniermediaire de la presse 4 ce propos — entre autre par le Sptegcl — 4 savoir que Hannę serait Hanna Krabbe — sont des inventions dirigees de 1’Accusatior. fćdćralc. afin d’etaycr I’af-firmation absurdc sclon IaqueUe tout Tunderground curopćen serait dirige 4 partii des ccllules de Stammheim. Affirmation par laquclle ils essaient de faire avaler le but qu’ils poursui-vent: rextermination des prisonniers de la R.A.F. Seul rintćrłt direct que les media portem 4 la stratćgie de la Sflrctć dc I'Etat, qui est d*exterminer la gućrliia. peut expL:quer la ccnsurc de nos dćmcmis dans cctte affaire. il est evident.
Les media se cramponnem 4 1’aspect formcl — ir.ais ne re-netent en aucunc manierę le fait que Prinzing porte sans cessc atteir.te a kur libertć, car cela impliąuerait une confrofitation avcc le contenu —
Les pr.sonnicrs — ct Prinzing n’est pas le dernier, comme
Schmidt, Maihofer, Vogcl (minisuc fćdćral dc U Justicc. S.P.D.) ct Buback. 4 faire Ic nćcessaire dans cc but — n’appa-raisscnt jamais dan; Ics comptcs rendus dc U prcssc. car la cn-ccrc cc!a impliąucrait unc gonfrontation sur le contcnu dc cc quc nous disons.
C'est la raison pour laąucllc Prinzing nous laisse que!qucfois parler — il sait tres hien quc dćsormais ricn dc cc que nous disons ne passera les murs dc cc tribunai.
« L'information offcnsivc **, c*csi-a-dire le mensonge offen-sif, est aussi nćcessairemcm produit au nivcau dc Padminisua-tśon. Comrr.e le disait Buback en fevrier, — « i! s’agit de savoir quand, cćmment et qucllcs ir.formations sont transmises. »
l.a Surete dc PEtat, ses operatior.s, echappcnt au contróle public. C'cst cilc qui contróle Popinion publique en cor.trólant cc qui est publie.
Les avocats qui asaient prćparć le proces ont ćtć exclus ct criminalises parce qu*ils ont brise cc systćme en alertant Popi-nion pub!iquc internationalc.
La publicitć dc cc proces est unc tarce. . 4
Ce sont les conferences de presse et les pcurparlers sccrets entre gou.erncir.ent. Conscil de presse et rććacteurs en etief qui dćcidcnt Ics contcnus qui serom rcr.dus publics ; et ils se rćdui-sent 4 ce que PAccusation fćdćrale — la clique — lance dans ses confćrcnces de presse — et ćcoulc sur Ic marchć grace 4 la structure de ceJui-ci.
Commc le disait tout crfcment Schmidt. Icrs de la seance du Bundestag du 13 mars : «< le suis entićremcnt d*accord avec le Conscil allemand de la prcssc sur !e fait que Pinformation au sujet des crimes vioIents ne doit pas etre dramatisće, ne doit pas conduire 4 ur.e surdramaiisation. »
F.t Buback. dc faęon car?ctćnstique, lórs dc Pćmissicn Kcnnzeichen D, le 6 mai :
« Nous r.e pouvons rćussir que si les journalistes se limiient 4 vouloir ćtre des intermćdiairts entre !a police. 1’Accusation fe-*' dćralc ct la population.../Lc Conscil dc la presse et les rćdac-teurs en chef desraient continuer 4 agir dc telle manićre que la presse et 1'Accusation collaborcnt encore plus ćtrouement. >* Far la vołx dc Buback. c’est vraiment le systćme cios qui pax!e pour soi, ct & considćrer la franchise avec laquclle Buback — PEtat ici, doit mobiliscr pour sa protcction. ces parole* appa-raissent comme le constat cxact que toute autre-.posttion que cellc dc PidcmiPication et dc la suAdemification 4 PEtat, an-