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Une fois la regression calculee et test€e, on peut estimer la hauteur moyenne du peuplement H par la valeur de h fournie par la regression pour
d = D .
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On peut de meme estimer la hauteur dominantę HQ par la valeur de h fournie par la regression pour d = DQ (diamdtre moyen des 100 plus gros ar-bres d lłhectare).
Revenons maintenant au point JT| ; si les trois conditions 4man£r6es ne sont pas satisfaites3 il vaut miewc admettre que la hauteur h de chaąue arbrey uti-lisće pour l'estimation du volumey est ćgale a la hauteur moyenne H du peuplement. Le cas se prćsente dana l ’6tude de nombreuses essences tropicalesy paroe que les variations dans la hauteur des arbres ne sont pas nettement corrćlćes aux diffś-rences de diarndtre, au point que les erreurs de mesure sont superieures d l*influence du diametre sur la hauteur. On trouuera plutSt les rógressions significatiues} traduisant une relation hauteur/diametre bien marqućey chez les essences dlombre avec d'assez fortes densitśs.
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Dans les peuplements inćquiennesy la regression sera toujours' significa-tive et on pourra 1'utiliser pour estimer la hauteur de chaąue arbre. Mais il faut bien ueiller d ne pas regrouper des donnćes issues de peuplements diffćrents pour en tir er une regression unique sarts avoir udrifić leur homogeneite au moyen des tests statistiques approprićs.
Si l'on ajuste la rSgression hauteur/diametre a une sćrie de peuplements eąuiennes d'dges differentsy elle sera egalement significatiue. Mais il faut bien noter qu'il s'agit Id d’un modele different de celui que Von ajuste d l'interieur d'un peuplement equienne : il ne peut seroir d estimer la hauteur de chaąue arbre au sein drun meme peuplement eąuienne, mais on peut 1'utiliser pour prćdire la hauteur moyenne H en fonction du diametre moyen Dg, d condition de rester dans une meme zonę de densitó. Dans un peuplement equienney la regression reflete des dif-fórences de vigueur ; entre classes d'dge diffćrentesy elle exprime une croissance en fonction du temps.
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