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On a uśrifiś la ualiditś de cette hypothdse sur plusieurs essences tropi-cales : elle semble oonduire d une estimation prćcise et eans biais de 1'accroisse-ment aprds Eclaircie₃ sous rśserve ąue 1'accroissement soit mesurć sur un interoalle de temps au moins ćgal d 3 ans.

On peut l^fexploiter de la faęon suivante :

m Representer graphiquement les resultats de l’experience d'espacement

(surface terriere en fonction de l'age, voir figurę 5.11), en lissant la. courbe des moyennes observees pour chaquę niveau de densite.

|T1 Definir le traitement sylvicole a appliąuer en termes de surface terriere au moment de 1'eclaircie, de nombre de tiges et de surface terriere en-leves en eclaircie.

Voici un exemple de dśfinition d'icn traitement syluicole Densite de plantation : 1 300 tiges/ha

Eclaircie n°	Surface terriere au moment de 1’eclaircie	G apres eclaircie	N apres eclaircie	i
1	28	22	900	1
2	t 35	28	500	1 ł
3	35	30	300 „
CR	35 %	coupe rasę

Tracer sur le graphique le chemin correspondant a cette sylviculture (yoir figurę *5.11) et retablir la succession reelle des ages d'ćclaircie •:

Eclaircie	Ages	apparents	Intervalle	Age reel au moment
				de 1'eclaircie
1	0	- 8	8	8
2	8,	5-13	5	. • .12,5
3	15	- 18,5	4	16 19 ^1
CR	20	- 23	3

Reconstruire la relation surface terriere/age, en decalant paralldlement a l’axe des ages les differents tronęons du chemin parcouru pour faire coincider les ages apres et avant chaque eclaircie. On peut alors dStermi-ner les autres caract§ristiques de la production du peuplement en fonction de l'age, pour le type de station ou a ete installee l'experience d'espacement .

Une variante de cette methode permet de construire des courbes de production pour diffćrentes classes de fertilitś d partir d'un seul graphiąue, en y rem-plaęant en abscisse l’age par la hauteur dominantę. On fait pour cela 1'hypothdse ąue la rćponse en surface terri&re des expSriences d’espacement s'exprime en fonction de la hauteur d'une faęon uniąue ąuelle ąue soit la station. Pour chaąue classe de fertilitć₉ on considdre alors la hauteur dominantę comme une transformation