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mmimal de soutien du CS PS consiste en un manoeuvre ou un górant de d6p61 pharmaceutiąue et peut $tre recnitó par le Comitó de gestion si le volume de travail le justifie. La prioritó absolue pour 1'utilisation des fonds disponibles est la misę k la disposition des m^dicaments essentiels et gćnćriąues pour les patients, utiłisateurs des seirices publics. C'esl pourąuoi 80% des recetes devront toujours dtre affectćes k 1'achat de mćdicaments. Des sanctions devront €tre prises k 1'encontre des contrevenants. En aucun cas, le renouyellement des módicaments ne peut 6tre compromis par le montant des salaires concódćs k oe personnel communautaire.
14. Loraąue le paąuet minimum d'acdvitds próvu pour un CSPS est rćalisć, et que la
communication avec la population est satisfaisante, les activitós peuvent 6tre ótendues k de nouveaux domaines, comme indiąud ci-aprfes:
(a)
(b)
(c)
La promotion sanitaire inclut la promotion nutritionnelle, radducdon d'eau, et rassainissement du milieu (dont l'ćvacuation des dćchets solides). Comme ces programmes reąuihrent des ressources supćrieures k celles des senrices de santó, la promotion sanitaire a pour objet principal 1*Information rdciproąue de la population. La promotion sanitaire ne fiut pas partie du paąuet minimum d'activitó parce qu'elle exige des changements de comportement et des ressources importantes.
Les sous-programmes qui reprćsentent des ajouts aux activitćs du paąuet minimum, doivent &re cffectućs selon les possibilitós nouvelles de fmancement Ds doivent rćpondre k 1'identification de problbmss locaux par les professionnels de la santd et/ou k la demande de la population. Eaemples: dóparatisation semestrielle des moins de trois ans, programme de prise en charge des hypertendus, etc.
Les stratćgies ąyancdes concr&isent la prise en charge des populations de la zonę de respansabilitć qui habitent loin des CSPS par des visites pćriodiąues destinóes k offrir des soins prćventifs, k superviser PASY, et k rćpondre aux problfcmes soulevds par la population. Elles devraient progressivement se substituer aux SMI mobil es effectućes par l'dquipe mobile du district
(d) Les ASY permettent k des populations eaclavćs, trop petites pour justifier la crdation d'une infrastructure sanitaire nouvelle, d'entrer en contact avec un CSPS. Les ASY doivent servir de relais aux activitós des CSPS et offrir des soins Ćldmentaires aux malades.
Les hópitaiu rćgionaiu (CHRs)
15. Les h6pitaux rógionaux sont les premiers ćchelons du senrice de santć oh l*on trouve des
spćdalistes, parmi lesąuels ii y a, au minimum, un chirurgien et un dentiste. Dana la mesure oh les CHRs serveot comme deuxifeme niveau de rćfćrence (au dessus du CMA), ils se trouvent sui-delk de Im structure du district sanitaire; ceci k I'exception du district desservant la population rdsidente de la capitale rćgionale pour leąuel le CHRjoue le róle de CMA. A noter que par contrę, les CMAs ne devraient pas jouer le rdle de CSPS pour la population oh ils se trouvent.
Les senrices spócialisós
16. Intdgratiop Administrative et Oodrationnelle. Divera senrices spócialisćs possfedeat une
infrastructure opdrationnelle spdciale, des superyiseura spdcialisćs, et des ressources propres. Ds rópondent de divisions relativement autonomes au niveau du MSASF.