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178 Travaux de Tbforie den Nombre*

que jMiur tout entier n > 1 Je nombre 4/» est uil Bt. Cette bypothdse a ćtć y^rifióe pour tous les entier1 2 n lei2 que 1 < n< 141649 (2).

.T’oserai aussi poaer 1’hypothfcse quc pour los entiers n > 1 tout nom-bre 5/» est un Bt. J’ai vAri£ić cette hypothitse pour 1 < » < 1000 •.

On ddmontre san2 peineque pour n entier, tel quc 1 < » < 100 len nom-bres 6/n sont des Bj, et que pour los entiers m, tels que 2 < n < 100 les nombres 7/n sont des B,.

D’apr&2 u nr hypothdse de A. 8chiiucel, quel que soit le norabre na-turel m dounć, il n’y a qu’un nombn2 filii de nombres natunds » pour lesquels le nonibre mjn n’est pas un B%.

Pour les nombres B, on a le thćortono suivant du a J. Myeielski.

Thćorkmk 3. 2 łtant un nombre naturę!, il n'eri2te aucune 2uite infinie croinganU formie de nombre2 B$.

Dćmonst ration. Le thćor&me est dridemment vrai pour «=1. Soit inaintenant 2 un nombre naturę 1 > 1 et suppoaons quc le thóorńme est vrai pour le nombre i—1. Admettons qu’il existe une suitę infinie crois-sante de nombres B,. 11 existe donc des nombres naturels z^"’, xt2),..., z2,2(oii » ■» 1,2,...), tels que

1 1 111 1

'O    + jOi+f) 2 •••+    + •••+ ^S)

pour u =1,2,... et nous pouYons supposer que aj3 < zf2 < ... < jfi2 pour n = 1,2,...

D’apr&s (4) et 2 > 1 on a

* . 1    1 JL J_ JL • J_ i_

r2-> -:r    +    + "•+ z<;>42>+ Jp + •"+    > z2" ’

d’ob r[m)< pour m — 1,2,...

I3s termes de la suitę infinie z2,"2 (n = 1,2,...) peuYent donc prendre seulement un nombn2 fini de Yaleurs distinetes, et il en rteulte Teiistence d’une suitę infinie croissante d’mdices u,,telle que z,l“2,o: jfi2 pour k = 1,2,... r>’apri2 (4) on a donc

1 1

x4-«ł

pour k = 1,2,..., coutrairement a 1’hypothfcse que le thóorńme 3 out vrai pour le nombre 4— 1. Le thfor£me3 se (rouve aimii ddmontrć par 1'induction.

On dćduit sans peine du thiorime 3 qu’il existe pour tout nombre 4 naturel et tout nombre r^el positif b iui nombre r<Vl a< b tel que entre « et b il n’.v a aueun nombre Ii,.

3. Sommcs dc fractions primaires distinctes. Appelons nombres C, les sommes de 4 fractions primaires distinctes. Les anciens fijjyptiens connaissaient la proposition que tout nombre rationnel positif est une sonime d’un nombre fini de fractions primaires distinctes. Je donnerai iei la dćmonstration de cette proposition trouvde par mon ćldYe, A. Em-pacher, dćmonstration qui permct aussi de trouver pour cbaque nombre rationnel positif donnć sadfcomposition en fractions primaires distinctes4.

TnAoEitME 4. Tout nombrr rationnel ponitif est une sommr d'un nombre fini de fractions primaires distinctes.

Dćmonstration. Soit d’abord r un nombre rationnel positif < 1, r— mfn, oil wi et n sont des nombres naturels et m < n. Hoit k le plus

petit entier tel que km ^ n, nous aurons fc > 1 et (Jfc—l)m< n, — > j-,

W K

r/i


w


1 Ami — n m 1

- = —--. fci--- > 0t alors, vu que (A:—1)m<i», le nombre

A Am    it k

sera rationnel


,    .    .mim,

m, 4=■ km = n sera naturel < m et le nombre--- = —

n k n.

dont le numćrateur est < m et le dćnnminateur h, = kn.

m 2

aurait — > -n k


et, comme (k—l)m<»,


Si le nombre m,/«, n’est pas un Clt non4 pouvons proceder avec m,/4, comme nous avons proc&M aveo mfn, en determinant le plus petit nombre naturel Jt, tel que k, m, >«,. S’il ćtait Jt, < k, alors, vu que m 1 m, 1    1

i; = i + irl>i + Ę’ °"

d’ob &m< m-fn, on aurait m-fw>2n, d’ou m > n, eoutrairement a 1’hypothise. On a donc Jt, > Jt. Si m,/», n’est pas un nombre C,, nous pourons proceder ainsi de suitę et on obtient des fractions dont les nu-meratetirs diminuent: m > m, > m, >... II en rfaulte qu’en rćpćtant notre proc&ić un nombre naturel eonYenable 4 K, m de fois, on obtient enfin

m 1    |    l

une fraetion unitaire et on arrive a la dćcom)>o4ition — — - + — +...+ -—f

n    k    kl

ou k9 ktfk$mml sont des nombrr4 naturels rroissant4. Nous avons ainsi

1

(•) Voir K. Oblatti, [Sur l'łquation diophanlitnn2 4/n 3 1/2!+!/2,+1/jrJ, Ma-thraia 59 (1950), p. 30H 310. o& 1'hypothto2 dr P. Krdó2 mt dćmoutrfa pour 1 < n < 10612H, et L. A. Koaati, [$«JT equaxu>n2 diofanUa 4/n = 1/ar,-f- l/2,-f1/2,], Bollotino drlla Unione Mathematica Italiana, Ser. 111, 9 (1954), p. 59-63, od ell© eat dćmoutrfo pour 106129 < n < 141 649. (A prteecit cette hypothtae ort vrrifi6o pour tou2 a < 102. ▼oir I). G. Tergi. On a conjtcturf by Ktdó2Strau2, BIT II (1971), p. 212- 216).

2

[A prf2rnt eeito hypotb^ cat v^rifi^2 pour toui2 « < 102. voir G. Gentile,

3

SuU indeierminaUt 5/a l/sr+1/^ f 1/r, Airhiinrdr 1959, p. 222-223).

4

[La rofnn4 dlmonstration a bib donnie plus lot par II. E. Salzcr, Thr appro-rimaiion o] nttmberg as sums oj reeiprooals, A nur. M4th. Montly M (1947), p. 135-142, fl Talgorithror lui mt4mc par Pibonacei, Liber abaci cl J. J. Sylveatcr, On a poi ni-im tke tkeory oj rulęar fractions, Amcr. J. Malh. 3 (1880), p. 332-335, 388-339).



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