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Seydoux [cf. notc 7J. p. 190). Au sujct dc Peter Scharer, cf. Hans Gugger (cf. notę 13). pp. 634-639 et pp. 684-685.

¹⁷    Cf. PlERRE Goy, Un pianoforte de Johann Ludwig Hellen. Benie 1773. in: Bulletin annuel. Socićtć des Amis du Chateau dc la Sarraz, 2003, pp. 42-45.

¹⁸    Scule la notice de Joseph-Maric Passalli de 1840 rclative a Forgue de Saint-Nicolas de Fribourg. construit par Aloys en 1834, ćtablit un lien entre Joseph Anton Moseret Jean-Henri Silbermann. facteur d'orgues et surtout de pianoforte a Stras-bourg: «Ainsi que son perć. qui avait travaillć sous le vieux Silbermann. le jeune Aloysc fit son apprentissage sous Silbcr-mann fils [Jean-Frederic (1762-1817)), aupres de qui il se rendit a Fage de 18 ans» (cf. Francois Seydoux [cf. notę 1), vol. 2. p. 2 et aussi vol. 1. p. 1). S'il semble peu probablc en effet que Joseph Anton Moser se soit perfectionne chez Jean-Andrć Silbermann, quand bien mćmc cc dernier mentionne une lettrc que lui a adressćc Moser le 26 mars 1762, pour lui demander du travail - et dont nous ne connaissons pas la reponse (cf. Marc Schaefer [cf. notę 5], p. 320 et FRANęoiS Seydoux [cf. notę 1 ]. vol. 1. pp. 783-784 et voI. 2. pp. 445-446) -, en revanche. la notice dc 1840 nous autorise a penser que Moser se serait formę aupres de Jean-Henri Silbermann comme facteur de pianoforte. La question reste de savoir a quel moment, peut-etre avant son intervention de 1764 sur 1‘orgue de la chapelle du college Saint-Michel de Fribourg (cf. Francois Seydoux [cf. notę 1], vol. 1, pp. 149-151 et vol. 2. pp. 166-170). Jean-Henri Silbermann s‘est formć pour la facture dc pianoforte aupres de son oucie Gottfried en Saxe. A propos des instruments de Jean-Henri. Johann Nico-laus Forkel. premier biographe de Johann Sebastian Bach, ćcrivait dans son Musikalischer Almanach fur Deutschland auf das Jahr 1782 (Leipzig. 1782): «Seine Instrumente sind der musikalisehen Welt allzu bekaniu. ais dafi es nóthig wiire, hier erst etwas zum Lobe derselben zu sagen. Sowohl seine Fliigel ais Pianoforte, w ie audi andere zum Theil selbst erfundene Manuał- und Pedalclavierinstrumente, zeichnen sieli durch Sauberkeit der Arbeit und Sdiónheit des Thons aus». Cette excellente rćputation rćsonne encore sous Fappellation quasi dćfćrente de «vieux Silbermann» dans la notice de 1840. Pour la Suissc. seul Peter Friedrich Brosi (1700-1764) est mentionne par Jean-Andrć Silbermann dans ses archives comme facteur actif <\ Bale. ayant ćtć formć Strasbourg. en Foccur-rence par son pere, Andre Silbermann (1678-1734) (cf. Marc Schaefer [cf. notc 5). pp. 300-301).

¹⁹    Maison ćgalcment illustree et dćcrite dans Franęois Sey-doux (cf. notę 1). vol. 3. pp. 11-13.

²⁰    Archives d'Etat de Fribourg. Registre Notarić 957. Jacob Xavier Wicky not., fol. 142 v. C"est certainement dans cette maison qu‘Aloys Mooser rćalisa les travaux dont il est qucs-tion dans Faccord notarić inćdit du 25 avril 1800: «Es haben sieli anheute vor mir gestellt der Burger Aloysis des Joseph Mooser Seel. Solin. Orgelmacher allhier. und der E. Johanes Maximilian Hundeshagen, Gold-Arbeiter in liiesiger Stadt, weldte gegenwurdigen Vergleiclt verabredet, getroffen und bestii lossen haben: ais namlich da die Scheidmauer zwischen ihren beiden Hauser in der Au [1'AugeJ unten am Stalden ge-legen, latu hier miindliche Anzeige des E. Johan Neyde; ais bestellter Werkmeister und des E. Joseph Kiister ais Meister Steinliauer, unumgdnglieh nothwendig neu aufgebaut werden mass: und der E. Hundeshagen mitzubauen sieli weigert, so thut sieli bemelter Mooser dahin eergleiehen laut Bau-Ord-nung die Seheidemauer allein. und a uf seine Kosten aufzurieh-ten; und die hintere Eassade des Hauses des Hundeshagen auch abgetragen werden muss: und das Hans bis an die mitt-lere Mauer, welche dann zur Fassade dienen soli, zuriiekge-zogen wird, so wird der Mooser solche hintere Fassade auch auf seine Kosten abtragen lassen, worfiir er die Steine behalten wird: was die Zuriiekziehung des Daehes und Dachstuhls betrifft, wird der Hundeshagen solehes auf seine Kosten maehen miissen. Der leere Raum, sey es der leere Platz, so dann hinter dem Haus des Hundeshagen sieli befinden Wird. soli immer und ewig bis an die neue Seheidemauer dem Mooser verbleiben, es wird aber der Hundeshagen bereehtiget seyn, hinter seinem Hans ein heimliches Gemach, jedoch nicht an des Moosers Seheidemauer maehen und bauen zu kon-nen.» (Archives d'Etat de Fribourg, Registre Notarie 779. Franęois Zurkinden not., fol. 64). La maison Ilundeshagcn est cclle sur la droite de la maison Mooser dans la fig. 4a, celle sur la gauche ćtant, deja a Fćpoque, 1’aubcrge des Trois Rois.

²¹    Dette assumće le 16 mai 1794 par le seul Aloys. comme on vient de le voir.

²²    Nous ne savions pas jusqu‘ici que ce facteur d'instruments a clavicr installć a Fribourg, par ailleurs encore fort meconnu. et dont de rares instruments noussont parvcnus,ćtait en rcla-tion ćtroitc avec Joseph Anton Moser. En effet. il apparait comme temoin a plusieurs reprises dans les actes notarićs. Outre dcux pianoforte conservćs de ce facteur (cf. Ono Rindlisbacher [cf. notc 15], pp. 64-67), nous en avons dćcouvert un troisieme dans une collection privće. Comme facteur cTorgues, Dreyer (ou Dreher) (1737-1825) rćalisa Finstrument d Orbe en 1797. L‘orgue de 1'ancienne ćglise de Bcllegarde (Jaun) pourrait etre dc lui. D‘apres nous, il est encore Fautcur de Forgue dc Biglcn (1779), que Hans Gugger (cf. notc 13), p. 2(K). attribue h un mystćrieux «Meister Johannes Kruhar [Dreher !] eon Freyburg».

²' Archives d'Etat de Fribourg, Registre Notarie 957, Jacob Xavier Wicky not., fol. 107.

²⁴    Archives d’Etat de Fribourg. Registre Notarić 1053. Tobie Cormintran not.,p.65.

²⁵    Pierre de ZUrich affirme que cette maison fut habitće par Aloys Mooser sans toutefois citer sa source d information (Archives d’Etat de Friboura, Fonds Pierre de ZUrich, n° XVIII. p. 9).

²⁶    Archives d Etat de Fribourg, Registre Notarić 771, Andre Berguin not., pp. 121-122. Pierre de ZUrich mentionne dans une rćfćrence a une notę d’archive de 1725 une maison «Raemy.- hi der Auw [FAugej ob der Slang (?) [Stalden?] ist ein Eekhus an dem giissli so man zu den Augustinern gehet». Cest trćs probablemcnt la maison au n 11 de la ruc de la Samaritaine, a Fangle du passage des Augustins (cf. Archives d’Etat de Fribourg, Fonds Pierre de ZUrich. n° 12. feuilles volantes conccrnant FAugc. p. 2).

²⁷    Archives d‘Etat de Fribourg. Registre Notarić 1115. Emma-nuel Bruno Gyotti not., fol. 244v. La grange aujourd hui dis-parue se trouvait tres probablemcnt a Femplacement du n° 6 dc la Rue d’Or.

²⁸    Cf. Archives d‘Etat de Fribourg, Registre Notarić 779, Franęois Zurkinden not., fol. 138.

²⁹    Cf. Franęois Seyixh;x (cf. notę 1), vol. 1. pp. 784-785.

³⁰    II perdit notamment contrę Scherrer le concours pour la construction de Forgue de Morges en 1777 et contrę Carl Josef Maria Bossart (1736-1795) celui pour la realisation de Forgue de Kon i z en 1780 (cf. Francois Seydoux [cf. notę 1]. vol. 1. p. 788). Pour les dćtails du concours a Kbniz. cf. Hans Gugger (cf. notc 13). pp. 328-336.

^;| Cf. Ai.oys Laufer, Jean Fumal. Hotel Rat ze, fichcs du Musec d’art et d‘histoirc Fribourg, 2003-3, Fribourg 2003, ainsi que Thomas Loertscher, Domenico Martinetti (atu:), console (vers 1770/75). fiches du Musec d'art et d'histoire Fribourg, 2006-3, Fribourg 2006.

¹² S'agissant d’un instrument rćalise par un facteur d’expression germanique, nous suivons Fusage allemand dans la notation des hauteurs (C. c. c‘. c”. c"‘ = ul 1. ut 2. ut 3. ut 4. ut 5 dans la notation franęaise).

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ZAK. Biind 67. Hcfl 3 2010