librairle f
’ faciliter 1’acces aux manuels scolaires dans les lycćes, deux dispositifs trłs diffśrents ont ćti s, l’un dans la rćgion Centre, lautre en Haute-Normandie. Bilan.
T U I T t
Hique •, sełon les li* ent rc; • ex ceł lent •, de Hautc-Norman-»ns pour \c moins Et pour causc. Les nc parlcnt pas du ositif. mćmc si ce-lans les dcux cas. i :es des łvcecns aux
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>laires.
r en la matiere, la :re a opt^.en 1998, stćme de gratuitć Is passant par les its scolaires: forts quj leur est allouć ►n, cc sont eux qui livres pour les prć-aux ćlćves. Un an Region Haute-Nor-opt6, quant a ełle, passant par les ły-nćmes : ces der* 'ent des chćqucs es •, i l'aide des-itinuent a acheter
MCOfttoSdfaf Rć-
le premier cas, les >ient marginalisćsr lć souvent dc pre-rtance pour eux. nd. ils restent au ćme marche, qu’ils •consolidć. En tć-propos des diffe-6s.A Blois. Olivier rie Labbe) resume ■ D'une part, nous c clientłle indivi-res scolaires, qui, bis dans nos murs, achetait d‘autres ivres pratiques): si nous voulons manque a gagner •tation des ventes nents ei collectm-us avons fait avec \$U de 1.3 MF ó ommes contramts 1‘importantes re-imum 23 %. pour we d’emporier des 'lirę encadre), ce
Rentrłe dans un lycłe de province. En haut, le chćquier rćgion livres de Haute-Sormandie
qui tend d peser sur nos marges, młme si pour les ventes en gros nous avons besoin d’un peu moins de personnel que pour les
ventes au dćtail. • Confirmant ces propos, Jean Legue (prćsi-dent de la FFSL et responsable des librairies Jean Leguć a
Chartres et la Rosę des vents a Dreux) rappelle les condusions d’une enqućte selon lesquelles, suitę i 1'application de la gra-
tuit^ du livre dans les colleges. en 1977.60 % des collegiens n’avaient pas passe le seuil d‘une libraine au cours de łcurs quatre annćes d’ćtudes.
On comprcnd que les libraires du Centre. i 1’unanimi-tć. s’inquićtent de la survic de leur profession. En ćloignant les jeunes des librairies. le dis-positif de gratuitć nsque d’ac-centuer encore Timpression d’ditisme assoo^e i ces lieui et de finir par en diminuer la firćquentation de faęon irrćm6-diable en faisant disparaitre de 1’esprit des nouvelles gćnćra-tions, 1’idće mdne d’aJler dans une libraine. Pour Olivier lab-bć « quand on demandera aux gens ou Eon vend des livres, ils rłpondront en grandę surface! iiigratuitć, cest la meilleure fa-ęon de dire qu'une libraine ne sen & rien •.
Dmi ttralrM tar troto. Dans ce contexte, Jean Leguć prćdit, dans la region Centre, la dispa-rition, i moyen termę de « deux librairies sur trois ». Ddi, plu-sieurs ont ferme leurs portes au cours des deux dernieres annćes, en raison de 1’impact de la prćsente mesure.conjugue par-fois a dautres elements comme l’arrivee de grandes surfaces specialisćes en centre-vi!le. Ont ainsi ete enregistrees les feT mętu res, a Blois.de Piletan qui rea-lisait pres de 40 % de son •••
Les grandes lignes des dispositifs
Allocation <f un budget aux lycćes Plan votć pour 4 ans pour la pćriode aliant delarentrće 1998-1999 * i 2001-2002 Nombre (fdćres concemćs: 98 008 Misę en płace:
1998- 1999: dasses de BEP, CAP
1999- 2000: dasses de terminale
<fenseignement gćnćral
2000- 2001: dasses de seconde 2001-2002: dasses de premićre Budget par ćłćre: 750 F
dans les lycćes professionneU 1000 F dans les lycćes d’enseignement gćnćral Montant: environ 80 MF sur 4 ans
Allocation de chćques livres aux lycćens
Votć annueflement Nombre <fdćves concemćs: 86000 Misę en pbce:
1999- 2000: dasses des sections pro^essionneOes
2000- 2001: dasses de seconde <fenseignement gćnćral
et technologique Budget par ćlłve: entre 250 F et 350 F Montant: 8 MF en 1998 1999
15 MF en 1999-2000 25 MF par an une fots le dispositif achevć (<fid 2001-2002, vo«re 2002-2003)
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