imiemierk partie. —
OIV A M M A nu:
1 0^ i !•)
a la fois le pronom demonslratif anlecedent, celni, celle, etc., et le pronom relatif proprement dit, qui, que.
-\ous nous trouvons dans lobligation de signaler les pronoms relatifs Heni Mguild derivśs de na, correspondant du zaian n, car ils sont couramment ernployes par les zaian dans leurs cliants :
Fćmiiun
M nscii lin
Sing. : mma, celui qui, que ; lennu, celle qui. qne; 1‘lnr. : winna, ceux, qui, que; tinna, celles qui, que.
V
131. -t- Pronoms relatifs derives des pronoms
demonstratifs.
Tous les pronoms demonstratifs paraissent etre ernployes comme pronoms relatifs :
niay mes umil il wam zen matą wulli as ennir a t de venir?
? Quel est celni qui a ete pris?
/ iihln? Oii est celui la a qui j’avais dit
Kn realite, ces pronoms reslent purement demonstratifs, et le relatif n doit toujours etre sous-entendu devant le verbe : il peut d’ailleurs toujours etre retabli, et Iesexemples ci-des_suś se disent aussi bien :
wntj mes mail u i Iwa iii zen ? mani walli n as ennir a <1 iihln?
U est mćme preferable d’emp]oyer a loutes les fois que le pronom doit jouer le role de complement direct.
Uans la pratique, tous les pronoms demonstratifs sont suscep-tibles d’etre ernployes comme relatifs; cliez les Zemmour meme, les relatifs ont completement disparu et ce sont les demonstratifs qui en remplissent le role :
winili enrunin rerami, ceux qui ont tue le cliasseur.
Cette elision du n explique qu’on trouve des particules demons-lratives suivies d’un verbe a la formę parlicipe :
ałia: ail izenzin alai, pour ułiaz uil a izenzin..., cet homme-ci, qui a vendu du tbe. *
laminI elli i iii iufąn, pour taintut r(!i n t Ul iufąn, cette fernme la meme qni l’avail trouve.