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et E sont independantes, on peut ecrire la variance phenotypiąue de Y comme suit:

_2 _ 2 . 2

a_Y — a_G -T &E-

L’hypothese de non-correlation entre E et G n’est pas toujours justifiee, mais elle est necessaire pour simplifier le modele.

La composante genotypiąue peut aussi se dćcomposer, de la faęon suivante, en parties considerees comme independantes :

G = A + Z>,

ou :

—    A est 1’effet additif des alleles au locus;

—    D est Tensemble des efFets de dominance entre alleles parentaux (un allele de pere et un all&le de m^re).

Dans la section suivante, nous allons illustrer le modele 1.1 ainsi que les notations d’additivite et de dominance.

1.2.2 Locus occupe par deux alleles

Certaines proprietós d’un locus a deux alleles vont etre presentees dans cette sous-section, vu leur importance en genetiąue quantitative et leur presence dans la de-termination de la variance genotypique. En effet, en conservant les notations prece-dentes, on peut ócrire la variance genotypique comme suit :

c-l = E(G²) - E(G)².

Cette equation fait intervenir 1’espórance de la valeur genotypique, E(G), que nous allons determiner dans une premiere etape. Dans une deuxieme ćtape, nous allons determiner l’expression de la variance genotypique en termes de frequences genoty-piques.