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Les D4 sont aussi longues mais plus ćtroites que les P4 . Le trigonide est toujours bicuspide, le protoconide restant reduit; bien qu’il existe parfois un petit anteroconide, ainsi qu’un metalophide peu dćveloppć, le bassin antćrieur est dans la plupart des cas largement ouvert £ l’avant comme & 1’atriere. L’ectolophide est complet; le mesoconide est gćneralement reduit. II peut y avoir une petite amorcc d’hypolophide (rare). La crete linguale descendant du metaconide rejoint l’entoconidc sans s’interrompre. Le cingulum posterieur est bien formć; l’hypoconulide reste visible, son degre de rattachcment a l’hypoconide et a 1’entoconide variant fortement d’un specimen a l’autre.

Les P4 sont relativement globuleuses et trapues. La cuspidc anterieurc, dans la plupart des cas unique mais parfois doublee d’un protoconide natif, est plus largc et moins haute, moins pointue que chez Spamacomys. Son flanc posterieur est parsemć d’une ou plusieurs ondulations de la surface de 1’email descendant dans le bassin du talonide. L’ectolophide est peu marque; le mesoconide, reduit, reste present. L’hypoconulide est bien visible sur le cingulum posterieur, cette crete etant fortement intetrompue entre 1’hypoconulide et 1’entoconide.

Les M[_2 se diffórencient aisement entre elles, les Mi ayant une formę en trapeze et les M2 ćtant parfaitement rectangulaires, voire carrćes. Le trigonide est, toutes proportions gardćes, mieux dćveloppe, plus fort que chez Spamacomys: 1’anterolophide est toujours bien formę, notamment sur les M2 ou il est rectiligne; sa liaison au protoconide est generalement mieux marquće que chez Spamacomys; il peut continuer a se developper par-dela cette liaison, jusqu’a l’extremite antero-labiale de la couronne -notamment sur les M2 (e.g. le spścimen type). Le metalophide, meme s’il n’est jamais tres fort, est souvent complet, fermant ainsi le bassin du trigonide. On n’observe jamais de metalophide I. Le bras postćrieur du protoconide est d’ordinaire assez court et reduit, la liaison au mesoconide etant assuree dans la moitió des cas environ par une fine crete naissant a sa base. Le mćsoconide est massif et souvent ćtirć transversalement. Dans 4 cas sur 5, une amorce d’hypolophide est prćsente; cette crete est complete dans 10 % des cas environ (essenliellement des M2; e.g. le specimen type). L’ectolophidc est fortement reduit. Le cingulum posterieur est, en revanche, bien developpe, meme si 1’entoconide apparait bien isolś du fait d’un rćtrecissement marque du posterolophide entre cette crete et 1’emplacement de l’hypoconulide - cette demiere cuspide ne se distingue en effet que rarement. Le sillon lingual est assez profond, mieux marque que chez Spamacomys.

Les M3 ont une formę globuleuse et arrondie bien differente de celle de Spamacomys. La surface d’email est chagrinće a legerement ridulee. L’anterolophide est dans la plupart des cas bien relie au protoconide. Le metalophide est genćralcment prćsent et complet; dans certains cas, le bras antericur du protoconide ne rejoint pas le mćtaconide mais oblique franchement vers le bassin du talonide, laissant le trigonide plus ou moins ouvert vers 1’arriere. Le bras posterieur du protoconide est court et ne rejoint qu’exceptionnellement un mesoconide massif et presque toujours bien etire transversalement. Le cingulum posterieur est large et peu eleve; on y observe regulierement l’hypoconulide, celui-ci etant souvent dedoublć lingualement. La crete linguale descendant du metaconide est courte et aboutit & un sillon lingual bien marquć. L’entoconide, massif et globuleux, est en position sensiblement plus antćrieure que l’hypoconide.

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