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ORAMMAIRE

PREMIERE PARTIE.

Voir d’aulre parł ci-dessous Adverhes de manierb.

en'am ! Oui ! voici ! en reponse a un appel, est d’origine arabe

córa me le suivant:

hiuł, Bień ! Soit!

s lit, m. a m. « Avec la verile ». C’est vrai, vraiment. [Hanoteau, Poesies populaircs, p. 199 « lidcls », verite.]

287. — 2° Negation.

Pour ul et ses composes, voir n° 188.

nlah ! Non !³

ehe*, *ehe*, oho, ihi, non.

Dans cette categorie, il faut signaler que la preposition md pour '<(]d, a un sens negatif lorsąue le verbe qui suit est au participe, et cela sans qu’elle soit precedee d’aucune particule de negation :

(tid idj isirin, m. a m. « pas meme un qui ait touche le but », aucun n’a touche le but.

aidmohammed iuśanśa, Mohammed lui-móme n’a rien donnę. (lid idj en (alei) rifi ihekmen, aucun taleb ne peut rien contrę

moi.

Quand la negation s’intercale entre aid et le verbe, ce dernier ne subit aucune modification :

aid uma nr ten iii, mon frere meme ne les a pas voulus.

i'alcbbi!m. a m. « O mon Dieu ! » s’emploie en denegation vive, en signe de protestation contrę uno allegation :

is d kiin ai. iinrąn? Est-ce toi qui l as tue ? ia lehbi! Point du tout!

'alik amanl m. a m. « sur toi la paix », point du tout, en aucune faęon

mohal, adverbe de doule, emprunte a 1’arabe comme les deux

precedents : c’est peu probable, c’est douteux.

"■ kan, egalement emprunte a l’arabę « c’est tout, sans plus, pas

plus ».

rna iśekśmęn, m. a m. « que fait entrer » correspond i notre « qu’importe » et s’emploie toujours avec les pronoms comple-ments indirects:

1. Mercier, Le Cłiaouia de fAures, p. .‘i6 « arak •».