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PREMIERE PARTIE. - GRAMMAIRE 67
2° Le h lettre faible disparatt generalement en passant au ber-bfere (comp. franęais h aspiree).
Ex. : Ar. rjclihez; Z. gez, terminer les labours.
Ar. hejjala; Z. laddjall, veuve ou divorcee.
Ar. Ifuweh; Z. IJu, bailler.
3° Le / disparait surtout dans les racines ąuadriliteres :
Ar. qunsul, consul; Z- qunc$, se soumetlre aux Franęais. Ar. mar śfrrjcl; i lasferjl, cognassier.
Ar. mar. fe.lja; Z. elfjut, toile de tente.
4° Chute du k, dans les deux exemples suivants :
Ar. zak; Z. ezza , chasser, expulser.
Ar. tikkuk; Z. u (lekka, coucou.
y V
5° Enfin signalons la chute du ' dans le mot tubeńln, bat, de l’arabe berd‘u.
74. — Passage des sons fondamentaux aux mi-occlusives
1° Le j de l’arabe dialectal marocain devient dj en zaian, resti-tuant ainsi au ^ sa prononciation reelle* :
Ar. dial. ejjir; Z. o.ddjil, chaux.
Ar. dial. juwer\ Z. djuiorł, avoisiner.
Ar- dial.,/«/‘; Z. (utdjul, voisin.
Ar. dial. elylnj; Z. ehiladj, avoir besoin de.
Ar. dial. hejjtdu; Z. laddjall, veuve ou divorcee.
2° Le dialecte zaian developpe souvent, devant les spirantes .v, i,j, z, redoublees, l’occlusive correspondante : d devant,/ ou:, t devant s ou a1. Cette tendance est beaueoup plus marquee chez les Bou Usousen que chez les Zaian superieurs et Ait Sgougou.
1 °J=dj.
Z. jen, dormir; FH. eddjąn.
Z. aijeł, moissonner; Fil. meddjel.
20 z~ dz.
B. Hs. hzcn, cacher; FH. heddzęn (Z. S. hezzęn).
1
On trouve cependant dc nombrcux cas de porsislance du j : il semble que la gśmination soitune condition particuliferement favorable du changcmcnt en mi-ocelu-*ive.
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