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transmissibles du betail, insuffisance des installations d*abattagc et des moycns de transport. manquc dc capi-taux et de personnel. hesitation des consommateurs qui n*ont pas confiancc dans les prćcautions sanitaircs prises. Des mesures sont proposecs. qui permettront dc sur-monter ces obstacles cFordre commercial. sanitaire et technique et d’amćliorcr la qualitć de la viande et des produits animaux.

Lutte contrę les acridiens

37.    Conformćment a la dcmandc figurant au para-graphc 45 du rapport sur la premierę session, le Secrć-tairc cxćcutif a consultć les organisations nationales et internationales interessćes et prćscnte un rapport sur les mesures a prendre pour augmenter Fcfficacite de la lutte contrę les acridiens en Afrique (E/CN. 14/32). Les mesures internationales prises pour la lutte contrę łe criquct nomadę et le criquct migrateur africain ont ćtć cou-ronnćes de succćs et Teffort principal sur le plan inter-national est dirige contrę le criquet pelerin. La strategie k utiliser dans la lutte contrę les calamites sur les plans intcrnational. rćgional et national est exposće dans ses grandes lignes; elle comprend la creation d*un fonds intcrnational et Fcmploi dc forces mobiles de choc rćpartics entre Linde et rAfrique occidcntale et dispo-sant d'avions. dc vćhicules et d’insecticides modcmes contrę le criquct a ses diflerents stades de developpe-ment. L*etude indique egalement qu’une demande a ćtć adressće au Fonds special des Nations Unieś pour qu’il donnę son appui a un projet international d’etudcs. de rcchcrchcs et de formation. La misę en ceuvTe du projet nćcessitera des contributions des gouvernements s*ele-vant ń prćs de 1.300.000 dollars sur un coOt total evaluć a 3.700.000 dollars. Cettc demande a ćtć accueillic favo-rablement et des mesures sont prises pour y donner suitę.

Dśveloppement des rłserves d'alja

38.    Conformćment k la demande figurant au para-graphc 44 du rapport sur la premiere session, le Sccre-laire exćcutif a ćtabli un rapport concernant les moyens d’aider les gouvcrncmcnts d’Afrique du Nord k deve-lopper Ieurs rćserves d*alfa (E/CN. 14/33). D’aprćs les renscigncmcnts obtenus dc ccrtains pays, les nappes alfa-tićres d*Algćrie, de Libye, du Maroc et de Tunisie ont un rendement assez faible et Falfa est plus cher que d’autres matićres prcmićrcs employees pour la fabri-cation du papier. II n’existe qu*une demande limitee de p&te d’alfa destinee a des usages speciaux, principalc-ment au Royaume-Uni. U est recommande de designer un cxpert qui serait charge d’ćtudier les perspectives dc commercialisation et d*indiquer s'il y a lieu de fairc de nouveaux investissemcnis en vue de diminucr le coOt et d’augmcnter le rendement de la rćcolte d’alfa et de deve-lopper les installations locales de transformation. On cherchc un consultant qui possede la competence neces-saire dans ce domainc.

Dereloppement des pecheries maritimes

39.    Le Secrćtaire exćcutif a ćtabli un rapport sur I*examen auquel il a procede concernant les moyens d*aider les gouvcrnements des pays de 1’Afriąue du Nord k dćveloppcr Ieurs pecheries maritimes (E/CN. 14/ 34). conformćment k la demande enoncee au paragraphe 44 du rapport sur la premiere session. Bień que le pour-centage de protćines animales du rćgime alimentairc moycn soit peu ćlcvć, la consommation dc poisson est faible. Les rcssources de la Mediterranće sont limitćes. U existe toutefois des possibilitćs de dćveloppement. Les mesures rccommandćes comprennent: a) 1'ćtude des rcssources de la Mediterranće et de la mer Rouge: b) la rćorganisation des scrviccs Iocaux et centraux de la pćche; c) Tamćlioration dc la situation economique des industries de la pćche et de la situation sociale des pćchcurs; d) la rćglementation et Tamelioration des mćthodes et techniques de peche.

A utrcs travaux

40. Le chcf dc la Division mixte a etudić avec la FAO les dćtails d'unc cnquete regionale sur la viande et le bćtail a fairc en Afrique en 1960. Les pouvoirs publics de Somalie ont ćtć pressentis concernant certaines possi-bilites de developpement agricole dans les bassins du Djouba et du Chebcli; une ćtude des enquetes dćji faites dans cette region est en cours.

SERVICE DU DtVELOPPEMENT COMMUNAUTAIRE

Cycle (Tetude sur le dłteloppement commiuiautaire

41.    A sa premiere session, la Commission avait charge le Sccrćtaire exćcutif de convoquer une confćrence res-treinte ou un cycle d'ćtude sur Fetablissement des pro-grammes nationaux de deseloppement communautaire (E/3201, par. 52). Cettc reunion a eu lieu a Addis-Abeba du 14 au 25 septembre 1959. Y ont assistć 63 participants et observateurs, dont les representants de 12 membres dc la Commission et dc 3 membres associćs, des reprć-sentants de TOrganisation des Nations Unieś. d*insti-tutions spćcialisćcs et d’autres organisations intergou-vcmemcntales.

42.    Un certain nombre dc pays membres et membres associćs. des institutions spćcialisćes. le Departement des affaires ćconomiques et sociales de TOrganisation des Nations Unieś et le secrćtariat de la Commission avaient ćtabli a cette occasion des notes et des documents de travail. L*Organisation des Nations Unieś avait foumi. pour distribution aux participants. des textes imprimćs constituant une vaste documentation dc base sur le dćve-loppemcnt communautaire; divers pays avaient prcte des films.

43.    Le cycle d‘ćtude a formule, a Fintention des gou-vernements, diverses suggestions concernant la prćpa-ration et Forganisation des programmes nationaux de dćveIoppement communautaire. leur misę en auvre et leur coordination. le reerutement et la formation du personnel et des animateurs bćnevoIes. ainsi que Fexć-cution de projets pilotes. Particulierement utiles pour la Commission ont ćtć les recommandations concernant la coopćration regionale. Les participants ont mis Faccent

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