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Pour promouvoir la sante: des conseils, pas des interdits!
Ces! eo voulant ameiiorer * telAgrache qu'Aie*arxJe< Graham Bell et Thoma* Waison ont 0« cotAwn le pnocipa du rmcropho-ne Plus tard. tf autres mventours apoofl<K*rti <Jos ameiiorahons au system# de Ben Par exompl*, David Edward Hugues a aug-menlft la sens&ftte du mcropho-
n# Je te propos® de sunnę les
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traces de Hugues el de tabnquer ton propre m<ropnonp
H te Mul tro*s tges de carbo-ne. du fil ®iectrique. une pile suche de 1.5 vott. une boito de cnaussures. un ecouteur pour radio A transistors et de la coite Je te conw.no de demander i a<Se d un adulte car cedames ope-a-bons sont de.icates
Tu oeui rdcuperer les tiges de carpono dans des v*iiies ptles de format D (les piłeś bon mar
Une tour de Babel scientifique
II arrive souvent au prof Soentfw de part .oper a des eon gros scientihques .ntarnatonau*. avec des chercheurs qu> partem diflOrentes languos
Lor* d un recent congrds A Madnd. en Espagne. ii y avad ^ mterprdtes capabies chacun de traduire d une tangu® A une autre. et mce versa
1- Hans łfanęais-attemand
2- Sopbu espagnoi uai-en
3- tsa6eiie (ranęais-anglais
4- Bons russe-rtalien
5- Nguyen : chino«s-v>etnamłen
6- Yen ru&se-chlnolS
7- Carto* angta.s espagnoi
A qu®l ou quets .m«rprete<*) deva>t avo«f recours
1- un *oenti»ique espagnoi qu> roula.t parter A un coHegue *n-gtar*?
2- un soentifigue espagnoi qu< cne sooi tras tao*®* a owi*).
Dumano# a łon assistant adulte de demonter ies p.ios den eitraire ies t-ęes ot d® les laver II don ensuite perce' un® petit® cov>t® au bout do deu* des troi* tige* Iwot IWustration). II peul se servir d un® perceuse ou dun cand
Pendant c* tomps, agu.se los deux Pouis la trois>eme tig® (voir I iHuSlration)
Tu peu* aussi rem-płacer la Iror-s**mo tige pa' un crayon A m«n® aiguisO aui deu* bouts. Tu es mainlenant prćł a commencer ton montage
lns«r* los deu* liges percees dans le oouv®fde de la bo-'te La drstance entie ies deux tiges percie* do® oermettre de mamterw la yoisiomo tigo dans ies cawtos Une io«s en place, cetto tge efti-i®e don vOrer Ujrement dans Ies cavit*s Codę mamtenani les deux tige* perce®* awec de la cotie blanche
Pour rćal.ser les brancbe-ment* ei*ct'rque». consuit® le schema Pour raccorder les t>ges de rarbone degam* 3 cm de W et entouro le M dOnud® autour de la base des tiges
Te vo«iA prAt a lester ton mi crophone Place lon montage pr*s d une source sonore (par oxemple tA*®viseur. radioi La t> ge mobile do i Otrę en position vert.cnto Si ton moniage est bten tait. tu devrais entendre le son dans I ecouteur Ne t attends pa* a do ia haute fdewe1 Le łaiWe son nasdlard que tu pergois a ąuand mAme suffi a stupetier les ptonmers du tćłćphone A I Opo que. beaucoup de gens pen *a>em qu u etait imposs.bie do taue voyager la vou dans un hl ®*ectnque
Le fonctionnemont de co mi crophone est simpfo Los son* font vibrer la surface de carton En se communiquant a la tige mobile, les vibrations tont vaner le* contacts ®ntro colt® t-g# et les tiges immobiles L mtensitd du courant Aleclnque panrenant a i ecouteur vane donc en foncton des inbrations L Acouleur trans-forme onsuito le courant dlec-tnque en vibrations sonores
Tu peu* modifier ton micro-phone pour augmonter ses per toimances Par exempie. collo un cdne de papier sur la t-ge .m-mot>>® du bas (comme sur riłius-tration) ou remplace la boite de amon par une assiette de poły-styrdno expansd (styrotoam).
Pro* Scientifix
youiait parter a un coHegue aiie mand’
3- un soentitique ch*no«s Qui vou-lan parter a un coliegue itai-en ■»
4- un *cient!l<jue v>etnamien qui youiait parter i un coUAgue tran ęais‘>
5 un scientiftpue russe qm voula>t parler a un cdiegue allemand ?
such te
e»eqesi soueo eigdos tuog -ę atteqesi l« «opeQ Biudos Suog u«A u»An6N 9 sijog i® u®a C
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anpijijueo* ,eqeg ap moj eun esuodeg
Luc Dupont
tc^noprwu
En 1989, le Dćpartetncnt dc santć communaulairc (DSC) de I Hópiul Otarłeś-LeMoy-ne. >ur la Rive-Sud dc Montreal. ob*crvait »ur son terriloire une multiplication des accidcnis avcc traumatiime cr&nicn. Les viclimes Utaient en bonne partie des cn-fants A bicyclcttc. sans casguc de sćcuritó. Le DSC a alors lancć un vaste programme de promotion qui, en dcux ans. a fait grimper le port du casquc de 1.3 a 8.6 p. cent.
De son cólć, le DSC du Centro hospitalicr dc la Mauricic a entre-pris une campagne dc sensibilisa-lion au port du condom dans les burs et les discothequcs. cela afin de rćduire la progression du sida che/les IS-30ans.
Ces deus excmplcs montrent bicn qu'en matierc dc santć publt-quc, «les inlcrveniions oni bcau-coup ćsoluć depuis l'ćpoque des dćfuntct Unitćs sanilaires (asanl les DSC), ou la promotion dc la sanie pousait tenir en quclques heures d'hygićnc A rćcole«. indi-quc Normand Trcmpc. du DSC de 1‘Outaouais. qui panicipait cn septembre A Montreal au col!oquc •■Promouvoir ia santć en francophonie». Aujourd’hui, on tente davantagc dc «vcndre» des outils dc santć. que de lancer dts interdits <«nc fumc/ pos». nc bu-ve/ pas»).
Cettc ćsolution des activitćs de promotion de la sante. dc nom-breux participams Pont attribuće
Les Canadiens boivent peu de bióre
Les Canadiens sont loin d'ćtrc de gros consommatcurs dc bićre. Sur 33 pays industrialisćs. Ic Ca* nada sc elasse cn effet au ISc rang. trć* loin dcrrićrc Ic leader, PAlicmagnc. On consommc IA-bas 143 litres dc bićre par person* nc par onnec. contro 78.16 ici.
Mćmc qu*cn 1990. la consommation de bićre che/ nous a diminuć dc 0.5 p. cent par rapport A 1989.
Selon le prćsident de PAssocia-tion canadicnnc dc* brasseurs, cettc diminutton est principalc-ment due aux toxes sur Palcool.
Les deux provmces ou Pon boit Ic plus dc bićre sont POntario, (83.36 litres par personne) et Ter-re-Neuvc (82,19 litres).
A une mcillcurc connaissancc dc Tctal dc santć des populations. Ainsi, les 32 DSC de la provincc oni desormais accćs aux donnćes dc la Regic de Passurance-auto du Oućbcc. dc mćmc qu’A celles dc lu Commission dc la santć et dc la sćcuritć du travail. cc qut cnrichit considćrablcment les banqucs d'information.
Dc plus. les cnqućtcs dc sante mcnćcs au Qućbcc sont actucllc-meni cn train dc sc transformer Aux indicatcurs dc santć c!assiquc — tabagisme. consommation d'alcool. activitć physique — s'ajouteront bientót une sćric d’indicatcurs nouveaux dits dc "santć sociale»: pausrctć urbainc. violencc familialc. problemcs de santć lic* aux communautćs cultu-rcllcs.
"On veut allcr plus loin quc Pexprcssion consacrćc du genrc «plus on est pauvrc. plus on est mnladco. exphquc Louisc Guyon, coordonnatrice de rccherchcs A Santć-Oućbec, un organisme d’cnqućte indćpendant mandatć par le ministćre dc Li Santć et des Scrvicc* sociaux. On veut savoir qui parmi les pausres sont mała-des: des cnfants ou des personnes Agóes? des hommes ou des fem-mes? des rćsidents de la silić ou de la campagnc?» Tous ces nou-veaux ćiements feront partie de la grandę. cnqućtc dc santć qui tou-chcra Ic Oućbcc cn 1992.
Au cour* des prochaincs an-nćes, la promotion dc la santć continucra A ćtre ornniprćsentc. dc plus cn plus multi-mćdias. esti-ment les spćcialistcs.
Le corozo sauvera-t-il les ślśphants?
Pcrsćcutćs depuis des dćccnnics pour leur ivoirc, les ćlćphants vont-ils cnfin pouvoir respirer? Pcut-ćtrc. ct cela grace au corozo. un ivoirc vćgćtal dom Pappa-rcnce. lu durabilitć ct la porositć s’apparcntcnt A Pivoire animal. Le corozo est Ic fruit d'un pal-micr appele phylćlćphastacć. Un seul arbre pcut donner chaquc an-nće dix kilos de corozo — prcsquc autant qu'un ćlćpham — mai* Panimal, lui, n’cst pas rcnouvc-lablc! 1^ corozo pourrait ćgalc-ment contribucr A protćgcr les fo-rćts pluviales dc PBquateur, dc la Colombie et du Pćrou. IA ou Pon retrouve cc type de palmiers. Sa culture pourrait rapporter des rc-vcnus cinq fois supćricurs A ceux prosenant des plantations dc Em* naniers ou dc Pelcvagc.