8197955546
— Vous me suivez, Marc, lui a dit Felix Openfeld.
II est monte dans 1’automobile decapotable. Ma mere et Openfeld Senior ont pris place en se serrant sur le siege avant, a cóte de lui. Le siege arriere etait encombre par plusieurs valises et une malle-cabine.
Les techniciens du studio leur ont souhaite bon voyage. Felix Openfeld conduisait assez vite. La camionnette suivait.
— Nous essaierons de tourner le film en Ame-rique, repetait Openfeld Senior.
Ma mere ne repondait rien. Elle se sentait un peu etourdie par tous ces evenements.
Place de Brouckere, Felix Openfeld gara 1’auto-mobile devant Thotel Metropole. La camionnette s’?rreta a son tour.
— Attendez... je reviens tout de suitę...
II entra en courant dans Photel. Au bout de quelques minutes, il revint, portant deux bouteil-les d’eau minerale et un grand sac.
— J’ai pris des sandwiches pour la route.
II s*appretait a demarrer lorsque ma mere
descendit precipitamment de 1’automobile.
— Je... dois... rester, dit-elle.
Ils la regardaient tous deux avec un vague sourire. Ils ne lui ont pas dit un mot pour la retenir. Ils ont pense, sans doute, qu’elle ne risquait rien, elle. Au fond, elle n’avait aucune raison de partir. Ses parents 1’attendaient a Anvers. La camionnette est partie la premiere.
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page0131 129 chef, avanr de eombattn-, lit. le voen suivant: „Seigneur, dit-il, si vous me tlonnez lpage0041 parę a manger et le pain qu’elle avait tait cuire. Jacob porta ie tout devant Isaac et lui95 o le representant syndical des travailleurs responsable de la SST Pouvez-vous me donner un exemplencore, de me parler de lui. Et cela necessitait Pacąuisitłon de vieux annuaires de toutes especes.&dant une sequence. Elle rangeait sa chambre en chantant et elle repondait au telephone. Felix OLes deux Openfeld ont agite les bras, en signe d’adieu. Ma mere agitait le bras, elle aussi. Felix&n— 276 —/
ćnives diocesam / vir unc « dernićre fois aujourtThUi. lui dit-il ; quand >369 Pour conclure, vous me permettrez sans doute de m’evader enfin, pendant quelques instants, de&nb101 endure, il est difficile dans ces circonstances de lui apporter Itaide appropriee. La collaboratpage0057 1 autre son grand panetier. lin jour le grand echanson dit a Joseph. „J ii reye que je yoyaW3I-0T0. npo 3A0 “Ko.. Poccwn. CaHKT-neiep^. Me>KeBOw Kaw; •• H K3H fl.3 6HMMH3H MyK3. iipour le succćs de laquelle un illustre membre de cette Acadómie, M. le comte Scolpis, a dit : « II e7 TUDOR VLAJ>IM1RESCU G81 1820, fonction qui lui a śtś particulidrement chere37. II n’a pasSavez-vous que l’un des meil-leurs vignobles de la vallee du Rhóne, situe au nord de Condrieu,186 supplement a cet ouyrage36. Selon lui, la recherche de Mallia est incomparabte: a cette epoque,pons102 i p -z) kład: Beaucoup może się pojawić: Cet auteur me plait beaucoup. II est beaucoup plwięcej podobnych podstron