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SOLEDAD, se redressant et tentant de nier : Qui ęa? Non...

IGOR, lut soufflant a 1’oreille : Le Poete... C’est ce broebelaer qui t’a mis dans cet etat...

LUGUETTE : Bon allez, ii est temps de desserrer le string. J'impose une pause musicale. Elle affermit sa voix et chante sur un air d'opera comme la Castafiore de Tintin. /th! Je jouis de me voir si belle en ce miroir! C'est la mćthode Coue.

IGOR lut renyoie son coup de coude : Luguette, si je peux me permett', ce n’etait pas du tout approprić, cette sortie.

SOLEDAD eclate de rire : Mais si! Elle a raison de me singer. Apres tout, il ne me regardera pas. II faut que je m’y habitue, mais je n’y arrive pas, quelque chose m’en empeche. C^łest parce que vous n^łetes que les firuits de mon instinct de survie et de mon imagination que je suis impuissante!

IGOR : U te sert a rien, ton mćdecin, il te faut un guerisseur! C'est ęa, un guerissseur!

LUGUETTE : Bień sur, pasWproblaim'. Toi, tu trouf le sorcier et moi je vais planter des bananes sur ITIimalaya. Et pouis d'abord, pour quoi faire, flupcke?

IGOR : Oui, je devrais rencontrer un marabout pour te faire desenvouter.

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