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serait resfee dans Vnfr*c familie; mais parce que vous aVez desobei, le Seigneur vous rejetera, Pt cboisira un autre roi qui sera selon kod coeur.” Sufll ne lit que de faibies exc«ses, et quoiqu’il ne fut accotupegiu* que d’eiiviroii six eents hommes qni n’avaient pas rudne darmes il se prepara au cornhab Or le&Hitirstins avaieiit 1 e11r camp prnclie de celni des Isfaelites, et Jnnat-bas, plein de coidianee dans le Seigneur, entra dans leur camp, soivi seulement de son ecnyer, tna •yingt Pbiii-stins, et le Seigneur frappa le reste dbine- telle penr, qn’ils s’entre-tuaient, on jetaient lenrs armes ponr fnir plus vite. Saiil profitant de cette vietmre les powsuiyif, et a rnnitatinii de Jeplile, s’eeria dans no fanx żele: i,-,Mandii soit celu. qni mangera la moindre cliose avant qne je me sois venge de mes eoiicmis!” Le peticie etait furt fatigirei et avait nne grandę faun; mais, qnoi qti’il passat dans un bois ou il y avait beauconp de miel, persunne nosa y foueher. Jinadias, qui n’a-vait point entendu la protesiatioii de son pere, se tron-vaut mai de besoin, prit un pen de miel an bont de sa bagnetle: ce petit seeonrs le fartifia. Cepen-dant ajires la yirtoire, Saiil consnlta Oieii ponr sayoir s’ i devait em ore combaiire les Pbilistins; mais le Sei-gnenr m lui repondant point, il connnt par la qne quel-qu’un ayaif viole le sermeut qu’il avait fait. II tira au sort ponr connaitre le coiipalde; et le sort tomba sur Jonaibas. Saiil lui dit: „Que Dieu me traite avec toute sa severife, si vous ne moiirez aiijonrd’iii-metne.” Or font le peujde s’y opposa fermement, en s’ecriant: „(inni done, jnnaiiias moitrra, Jut, qni yient de sau-ver Isratil (l*nne maniere si meryeilieuse? Par le Seigneur! il ne tombera pas sur la terre un seul ehrveu de sa tete.” Le peuple sativa ainsi Jonatbas de Ja murt alaquelle son pere f&yaitsiinjugtementcundamne.