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nous gouyerner, t <unme en out Jes autres nafiuns.” Cefrę dernande affiigea Samuel, mais le Seigneur liii dit: „Ce nest pas toi, e’est moi que Je peuple a rejete; cxplique-leur tlone a qnoi ils s’engageut en demundant un roi.’ Samuel lit ce qui lui etait ordnime; mais les Israelites s’obsfinant <\ en avoir im, Dieu dit a Samuel de pre-parer u i saeriJiee, et qu’alors il lui «nverrait celni qu’il avajt clioisi pour etre roi dlsrael.
Saiil.
II y avait un bouime de la tribu de Benjamin, uom-me Saiil, qui etait bcau de visage, et plus hauf qne tous les jemies gens de sou age. Le pere de Saiil, ayant perdn ses anesses, enyoya son fils et un de ses gens pour les eherehyr; et eomme ils eoururent long-temps sans les trouver, le seryiteurditaSaiil: „Alloiis eoustil-ter Samuel, riiuimne de Dieu.” Saiil suivit ce euuseil, et le Propliete, a qni Dieu nyait reyele qu’il avait elii)isi pour roi rineonnu qui sadressait a lui, iuyita Saiil a diner et le lit passer la unit dans sa mai,sou. Le lende-maiu il mena Saiil liors de la vdle, prit one fiole d’lmile saiute qu’il repnudit sur sa tóte, et ąpres l’avoir em-brasse, il lui dit: „Le Seigneur par eette oiiction vous saere roi dlsrael.” Saiil se eroynnt indigue film (el bouneiir, dit a Samuel: „Ne suis-je pas de la deruiere des tribus dlsrael? et ma familie u’est-elle pas la moin-dre de celles de eette tribu? D’ou me yieut cette di-guite?” Or Samuel lui donna plusieurs signes pour, lui prouver son ćlcctiou, lui iudiqua le lieu ou il retrou-yerait les auesses, et lui dit, entre antres: „Vous ren-eonfrerez, au sortir d’ici, une troupe de propbetes; l’es-prit du Seigneur yiendra alors sur vous, et vous propbe- 1
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