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WROŃSKIEGO ŻYCIE t PRACtó.
PRZYPISY.
x) Poglądy, wyłożone w tej pracy (wydanej następnie po raz drugi w r. 1853), powtórzył Wroński w innych swoich dziełach, a między innemi i w „Metapolityce mesyanicznej“, która wyszła prawie jednocześnie. Wyjmujemy z niej charakterystykę Napoleona:
. . . „Eleve au milieu de 1’enthousiasme revolutionnaire pour la libertó, et com-battant pour elle, il dut naturellement, avec la haute intensitó de sa vie, exalter en lui cet enthousiasme generał de la France. Et lorsque le destin l’avait appele, d’une part, dans le sein de la rópublique, a proteger la liberte en repoussant la contrę-re-volution, et par lui meme (au 13 vendómiaire) et par sa puissante influence (au 18 fructidor), et de 1’autre part, hors de la republiqne, a faire triompher la libertó par ses victoires en Italie, et surtout a la faire roconnaitre comme souveraine par le traite de Campo-Formio, Napoleon dut necessairement, en outre de son premier enthousiasme, developper en lui la conviction immuable que la liberte des peuples ótait la base et devait etre le but de tout son existence politique . . .
»Depuis le 18 brumaire, surtout depuis le consulat a vie, Napoleon comprit que 1’autorite politique ótait une condition d’ordro social tout - a - fait diffe-rente de tout ce qu’il avait connu jusqu’a ce temps, et meme une condition entiere-ment inconnue, dont il fallait decouvrir le principe . .. Comme chef d’armóe, il avait acquis la conscience que 1’ordre n’est possible que par l’exercice d’une autorite ab-solue ... II comprit sans doute, quoique vaguement, que, parmi les trois elements qui entrent dans la constitution de toute autoritó humaine, les lois, la liberte et la coer-
cition,.....le premier et le demier, les lois et la coercition, concourent seuls a la
formation de la discipline ou de l’autoritó militaire, et que c’est par l’adjonction du deuxieme de ces ólóments, c’est a dire de la liberte, que se distingue essentiellement,
de cetto exceptionelle autorite militaire la vraie autoritó politique...... Le grand
homme comprit facilement que dans cet ordre de choses qui est absolu, et par le quel seul peut s’ótablir 1’ordre social, l’autoritó politique qui est ainsi destinee a rea-liser sur la terre les lois morales, n’est rien moins que la representation de leurcreation divine...
... Pous8Ó par le besoin universel de la conviction religieuse qui a donnę naissance au protestantisme, et qui aujourd’hui, plus que jamais, se revele a 1’homme, comme etre raisonnable, avec toute la force qu’il trouvre actuellement dans la conscience de la spontaneite cróatrice de sa raison, Napolóon dont le genie dóvanęait les progres de 1’humanitó, dńt necessairement, et plus que tout le monde, chercher k remplacer, par une conviction rationnelle la simple foi religieuse, dont 1’insutfisance actuelle est re-connue et avouóe dans le monde civilise. Neanmoins, dans son impuissance philoso-phique d’arriver a cette conviction rationnelle, ce grand homme ne put visiblement se detacher tout-a-fait de la foi religieuse, de cette premióre base sentimentale sur
laquelle repose, pour 1’homme l’auguste problóme de l’existence de Dieu....... Ce
qui manquait a Napoleon pour 1’accomplissement de ses hautes destinóes, ce sont les grandes lumieres que repand actuellement le Messianisme, surtout leur concentration en faisceau dans l’Union absolue . . “
Może nie będzie pozbawionem interesu opowiadanie Wrońskiego o jego zetknięciu się mimowolnie z Napoleonem. Opowiadanie to jest zarazem przyczynkiem do cha-WrońsWi. JQ