page0181

page0181



179

C’est pourquoi il se contrefit le yisage,' se laissa tom-ber entre les mains des Philistins, se heurta contrę les poteaux de la porte, et fit decouler sa salive sur sa barbe. Achis dit alors a ses officiers: „N’y a-t-il pas assez de fous parmi nous, pour que vous m’i,meniez eneore celui-cil Cbassez cet bomme de ma maisou.” C’est ainsi que David fut sauve des mains des Philistins. II sortit de Geth et se retira dans la enyermtYUdolam, la, sa familie vint le trouver, et il s’assembla pres de lui environ quatre cents homtnes, partie malbeureux, partie mecon-tents des cruautes de Saiil, et David devint leur chef. Puis il s’en alla a Maspha, dans le pays de Moab, et pria le roi des Moabites de permettre que son póre et sa m&re demeurassent dans cette yille pour quelque temps; le roi y consentit. Ensuite le propliete Gad vint dire a David, au nom du Seigneur, de sortir de ce fort, et d’aller en la terre de Juda. David, bien qu’il sut le dauger auquel il s'exposait, obeit a la parole du Seigneur, partit du pays des Moabites, et se retira dans le bois de Haret.

Snuł fńit tuer AcliimelePli.

Carnage de ]Vobć.

Un jour Saiil entoure de ses officiers se plaighit que personne d’entre eux ne lui donnataucunayisni dusejour de David, ni de ce qu’il faisait. Alors Doeg 1’Idumeen lui dit qu’il avait vu le fds d’Isai a Nobe chez le Grand-prótre Achimelech qui, apres avoir consulte le Seigneur pourDayid, lui avait donnę des vivres et meme 1’epee de Goliatb. Le roi, furieux de cette nouyelle, enyoya querirle Grand-prfetre avec touslespretres de la inaison de son pe-re, et ils yinrent tous trouyer le roi. Saiil dit alors a Acbi-


Wyszukiwarka

Podobne podstrony:
page0125 123 vonlu noiis faire passer le fleuve du Jourdain pour nous livrer entre les inains des Am
145 Comptes rendus vinces du pays ; il rćvele, en outre, de grandes diffćrences de niveau entre les
page0163 161 tu es vemi ici!” David, sans se faelier, łui repondit avec douceur, qu’il avait suivi e
MG72 piitay **• - C£t. / WfĘĘ    / r f il^dt^. P^rcu^AoS (
— 34 — Dans la descendancc de la plante 2, il y a par contrę preponderance des phenotypes parentaux.
pg026 36<»C* CKX«» » Ałil! Ił-.»lSleeveless bodices The M5 C ood>ce Wock armhoies are desęned
page0055 deehire ses veteinens, il se couyrit d’un cilice, pleurant son fds fort long-temps. Alors t
page0179 179 nowisku poznaje się z Tomaszem A. Scottem, dyrektorem świeżo ukończonej kolei PennsyIwa
page0182 179 kich w świecie dostojeństw. Y/ynósł go na biskupstwo Łuckie i dał koronne nodkanclerstw
page0183 181 melecli: „Pourąuoi ayez-vons conspire contrę moi, vous et le fils d’lsa f? Vous Iui ave
page0183 179 organizmy roślinne i zwierzęce przyczyniają się do wietrzenia skał. Wietrzenie mechanic
page0185 179 dzającycli, nawet przeciw postanowieniom rządu w tych latach uwzglę dniającym pewną czą
page0189 179 WROŃSKIEGO ŻYCIE I PRACE. rien ? Peu de chose, Mais encore? C’est un puits de science s
page0189 V 179 T ofteen 19 Troja 96 Tukris 55, 56 Turcy 23, 25 Tuśratta 56 Tutu
CHAP. m : PHILOSOPHIE CLASSIQUE.    159 yolumes a la Bibliotheąue Royale ; il se trou
« Qu est-ce que c est que cela? Ce qui est, je l ai invente. A present,il se venge et me singe. (...
de la próenir, et il se demandait si cettc recette reussirait micux a l’cxterieur. il faisait remarq
- 20 - projet de paix perpśtuelle; celui par leąuel il se rap-proche le plus de Grotius, estle trois

więcej podobnych podstron