presents qu’il lui ayait apportes; mais Elisee jura par le Seigneur, qu’j| naccepterait rien, et quelques ipstanc.es que lit Naaman, il ue voulut pas s’y rem]re. Eufin Naaman lui promit que dorenayant 't ne saerifierait plus aux dieux etrangers, mais au Seigneur seul; Elisee lui donna sa benediction, et Naaman se sępa© de lui.
Or Giezi serviteur d\El<see, fucbe que Ihomme de Dieu nYilt rien youlu prendredes dons de Naaman, cfty« rut apres lui, et 1’ayant atteint, il lui (lit: „Mmi maitre m’a envoye vous dire que deux jeunes proplietes lui sont arriyes tout a lheme de la montagne d’£pliraim. 11 yous prie donc de lui enyoyer par moi un talent d’ar-gent et deux yetements.” Naaman lecontraignit daccep-ter deux foiś aufaut qn’il avait demande, sur quoi G.e-zi sen retuurna cliez lui, et apres avoir caclió son tresor dans sa maison, il vint se presenter deyant son maitre. Celui-ei, inspire du Saint Esprit Ir. demamla; ,,0’oii ve-_ uez-vous?” „Je 11’ai ete nulle part lui repondil eflioute-ment le seryiteur. Alors le propliete lui adressa ces pa-roles: „Je sais bien que votre ayidite yous a porte 4 recevoir de Naaman de Tor et des liabits; maintenant vous yous croyez uu grand seigneur; mais la lepre de Naaman s’attarbera a yous et a toute yotre race pour jamais.” Et Giezi se retira d’avec son maitre mut cou-vert J'une lepre blanche eonime la neige.
Ainsi Dieu punit la cupulite et le mensonge.
U11 jotir les disciples d’Elisee le prierent d’aller avec eux jusqu'au Jourdain ou ils deyaient prendre du bois dęła foret pour batir une habitation plus spacieuse qtie celle quils oecupaient. Elisee y consentit. Or il arriya que comme l’un d’eux abattait un arbre, le fer de sa cognee tomba dans 1’eau. Aussitót il se mit a crier. Heias! rnon Seigneur, cette cognće 11’etait pas a moi.'’ Ldiomrre de Dieu ooupa un rnorceau de bois, le jęta