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naturę pour se soulever contrę ceux a qui il doit le joiir. Cepemlant Joab envoya deux courriers pour rapporter a David 1’lieureuse nouyelle de la vicfoire; mais la preiniere question que David leur adressa fut: „Mon flis Absalon, est-il en vie?” et eomme fun d’eux lui re-pondit: „Qne tous ceux qui se'soulevent contrę le roi mon seigneur, soient punis eomme il l’a ete, Darid fut saisi du plus grand desespoir. Il s’enferma dans tnie cliambre, et s’y mit a pleurer en s’ecriant: „Mon fils Absalon, Absalon mon flis! Que ne suis-je rnort a ta place! Oli mon fils Absalon! Ou es-tu Absalon mon fils!” Ce ne fut qu’apres des reproebes et mćnre des menaces liardis de la part de Joab que David modera son afflic-tion; il se montra donc a ses seryiteursj leur temoigna sa satisfaction, et il fut ramene en triompbe a Jerusalem, ou il pardonna a tous ses ennemis, meme a Sieml qui lui avait tellement insulfe.

DaTid fait filii¹** le denoinlbrement ilu pciijtlc.

Peste dans lirael.

Outre les peches (lont tious venons de parler, David en commit encore un autre tres-grave. Emporie par l’or-gueil de commander a un peuple si nombreux, il en fit faire le denombreinent par un esprit de yanite desa-greable au Seigneur, et malgre les remontrances de Joab, David s’obstina dans sa volonte. Joab fit donc ce fata! denombrement, et il se troirna d’lsrael huit cent mille liommes forts et propres a porter les armes; et de Juda cinq cent mille. Des que Torgneil de David fut satis-fait, il sentit des remords en sou coeur, et se proster-nant deyaut le Seigneur, il te pria avec uue ame dechiree