2 RECUERCUE DE CAPITAUK
O — Pour creer une entreprise, il faut commen-cer par acheter ou louer un local, du materiel, etc. Pour cela, le ou le$ createurs dentreprise doivent trouver de 1'argenŁ
a. Usez la leęon du jour.
b* Les afflrmations ci-dessous sont fausses. Corrigez les erreurs en rempłaęan! les mots en italique par d'autres mots.
1. Le crdateur cf entreprise a la possibilite de prśter A la banque.
2. Les associśs empruntent des capitaux A la soctftó.
3. Le Capital sociaJ est constrtuś de Pensemble des capftaux apportós par les partenaires.
4. Avec rautofinancement, ('entreprise utilfse le Capital soda! pour se dórolopper.
5. Gr3ce A rautofinancement, rentreprise peut emprunter davantage.
Q ... Les caractóristiques suivantes cor-respondent-elles a un apport ou a un emprunt decapitaux?
Ex.: Un emprunt endette la sociśtś.
1. Un _ entraine le paiement tfintśrfits,
2. Un— _ obUge la societó A rembourser un jour.
3. Un--------augmente les capitaux appartenant
A la soddtó.
4. Un--permet A la soclśtó d'emprunter
davantage.
Q... Le createur dfentreprise peut utiliser le credit-bail (ou leasing). II loue le matśriel, gśnśralement pour une durśe minimale. Plus tard, s'il le souhaite, il pourra lacheter.
A votre avis. quel est l’avantage du cródit-bail pour le cróateur d'entreprise ?
O ••• Volci des cltations concernant Cargent. Pouvez-vous expliquer leur signification ?
1. Le temps, c'est de Targent
2. On ne prete qu'aux riches.
3. Largent ne fait pas le bonheur
• Pour trouver de 1'orgent, les crdoteurs d'enłrcprise peuvent:
- emprunter 6 dfoutres personnes, et en portłculler aux banques;
- opporter eux-m6mes des copitoux. Les personnes gul font un apport de copltoux 6 une societe sont des ossodes et 1'ensemble des copltoux opportes s'oppelle le copltoi sodol (le copltoi de lo sodetd).
Attentlon: II fout blen distlnguer remprunl et Popport.
• Plus lord, sl la sodete falt des bdndflces, elle pourro recourlr 6rautoflnancement, desl-6-dlre utiliser ces b4n4flces pour lnvestlr (■ acheter des blens d'ćqulpcment comme un blen Immoblller, du materiel de transport, des machines, etc.)
LE, LA, LES, UN, UNE, DES,
DU, DE LĄ (L*)
1. Gomplśtez avec un articla.
Dans entreprise Cortexte, il y a
grand bureau.
En ce moment, dans grand bureau
j| y a homme qui dort
C’est patron de entreprise
Cortexte.
II est fatiguś.
2. Compldtez avec un article.
1. Alice a dettes parce qu’elle a
contractś emprunt de 3 000 eurcs
A banque Ażur.
2. On dit que Roger a .. argent sur
compte bancaire dans banque suisse.
3. Pour róussir dans affaires, il faut
intuitjon, - rejatlons, courage, chance.
4. Ayec endettement de deux
millions d’euro8, --------entreprise Cor-
texte connalt actuellement — diffi* cultes financióres importantes.
-* Voir page 101.
crśateurs d entreprise • 2
© ... II y a hult ans, Sandrine a ouvert la reataurant Le Gallbot.
Elle a investi dans cena affalre la totalitó de ses śco-nomies : 50 000 euros. De plus, elle a emprunló 10 000 euros A des amis et 30 000 euros & la banque
Ouel est le montant:
- des capitaux apportós ?
- des emprunts ?
- de rinvestłssement total ?
O ••• Depuis hult ans, le Gallbot s’est modernise. Le matóriel a śte totalement renou-velś. Sandrine n'a eu besoln ni d'emprunter ni d'łnvestir son propre argent.
Comment a-t-elle pu financer ces nouveaux investissements ?
om Sandrine reęolt un appel tślć-phonique de Romain, un aml. Ecoutoz et/ou lisez cl-contre cet entretien telephonique.
Les afflrmations suivantes sont-elles vraies ou fausses ?
1. Romain envisage de crder un reśtaurant.
2. II prdte 8 000 euros ó Sandrine.
3. II a dejó empruntó k la banque.
4. II demande & Sandrine de devenir son associśe.
O A quel endrolt de cette conversation telephonique pouvez-vous placer les expres-słone suiwantes:
1. c'est eile-meme
2. j’espóre
3. mais ce n’est pas suffisant
4. II n’y a pas de quoi.
5. el merci encore
O ••• ® Imaginez qu’au lleu de tślśphoner, Romain envoie un e-mail a Sandrine. Mettez-vous ń sa place et ścrivez cet e-mail.
Sandrine : Rcttaurant U Golihot, bon jour.
Romain : Bon jour, ccst Sandrine ?
Sandrine : Oui, oui.
Romain : Ccst Romain i 1'appamL
Sandrine: Ah!Romain!Qu’crt-ccquctudcvien» Comment vont les affaires ?
Romain: Ca va, ęa va, bcaucoup dc travaiJ, il resu encore irois chambrtf k renom.
Sandrine: Quand est-cc quc tu ouvrcs!
Romain : Dans un mots, quand les travauz seront icrmmćs.
Sandrine: Ttiastrouvtlargent?
Romain : fai obtenu un crćdit de la banque, et c'est justement pour ęa que je t appelle. Est-ce quc...
Sandrine: Attends,lause-moideriner.
|e parie que tu as brsoin d*argent.
Romain : EaactemenL Est-ce que tu pourrais me prćter 8 000 euros ?
Je te remboune dans siz mois.
Sandrine : Pis de problłmc I Veuz-tu quc
Romain: TVes bien. Tu es formidable, merci.
Sandrine: A la prodiainc.alors.
Romain : Au rewir.
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