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grammaticales qu'ils reraplissen!, rcpresentenl cliacun une idee spćcialc. La reunion dc tous ces rnots on de toules ccs idees reprćscntc fensemble des connaissan-ccs des nalions qui font usage du vocabulairc uuqucl ils npparticnnent.

On peul donc dire qu'<7 y a ttn rapporl ćvident en-tre le vocabulaire d’unc lanyue et les connaissances du peuple qtti la parle.

n.

II dćcoule dc ce qui prćcede, quc si Ton classe les mots principaux d’unc langue par ordre de maliercs, en saslreignant anx methodes suivies daos les Sciences naturelies, on aura une suilc de lableąux qui rcpresen-leront les connaissances d’un peuple dans chaque spe-cialitć.

Le tableau rclatif a 1’aslronomic don nera des rcnsei-gnements sur l'ćtenduc des connaissances astronomi-ques. Ce tableau pourrail $ervir, au besoin, pour sa-voir si le peuple qui parle la langue qui a servi ii le forracr, a connu les deux hćmispheies terrestres, par suitę des constellalions qui s’y trouvcraicnt inscriles.

Lc tableau relatif a la divi$ion du temps serait emi-nemment prćcicux; car il per me u raił de savoir quel ćtait primitiycment le nombrc des saisons, des moisdc 1'annee, des jours de la scmaine, et par suitę, quelle etait la region hałritće par le peuple dont la langue est soumise a cette sorte dcxamen.

Des tableau* relatifs aux Sciences naturelies, la rai-