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CHROŃ 1QUE

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nalite complexe dii grand liomine roumain, les conferenciers de TUmversite Populaire ont eu la possibilitć de faire connaltre aux nombreux auditeurs, un nclie matcriel, conccrnant le fon-•dateur de la premióre Univcrsitć Populaire dc la Roumame, celle dc YAlenu dc Munte.

Le 28 novembre 1965 — jour du vingt cinąuieme conimeinoration de la mort de Teminent histonen — on a inaugurć k Yalenii de Munte, en presence de personnes officielles, savants, professeurs, ćcrwains, membres dc la familie de Nicolas Iorga et habitants de la ville, dans la demeure ou le savant a vecu et travaillć durant plus de 30 ans, La Maison memoriale « Nicolas Iorga ». A cette occasion, plusieurs allocutions ont ete prononcćcs, par : Glieorglie Stan, prć-sident du Comite Exćcutif Rćgional de Ploieęti; le docteur Mihai Bacescu, president du Con-seil des Musćes dans le Comitć d'£tat pour la Culture et TArt; Andrei Otetea, directeur de Tlnstitut d’lnstoire « Nicolas Iorga » de TAcadćmie de la Republiąue Soaaliste de Roumame ; le Prof. univ. Gheorghe $tcfan, doyen de la Faculte d’Histoire, k Bucarest; D. Panaitescu--Perpessicius, directeur du Musće de la Litterature Roumame et on a maugure un buste <le Iorga.

La Maison memoriale « Nicolas Iorga * de Valenii de Munte constitue un important lić-iitage culturel, rassemblant les objets familiers ayant appartenu au professeur, un nombre impressionnant des travaux publies dans sa petite typograplne locale, ainsi que des lllustra-lions et des souvenirs des traditionnds cours d*ete de TUmvcrsite Populaire — ou se sont •succede les jeunes genćrations dkntellectuels de Tepoque

A Bucarest, dans T ancien ćtablissement de Tlnstitut d’histoire universelle, mitić, dote •et dinge avec competence et dćvouement par Nicolas Iorga, ou Tinfatigable ecnvam a deve-loppe unc grandę partie de son actiyite scientifiąue, est mstallć aujourd’liui rlnshtul •(Tłustawe de VAcadimle de la R6publiquc Sociahsle de Roumame qui, k Toccasion de sa comme-moration, a reęu le nom de « Nicolas Iorga ». A Tlnstitut des etndes sud-est europćenes — une -autre creation dn professeur N. Iorga — le cherclieur scientifiąue A. Fochi a prćsente son expose sur Nicolas Iorga et le folklore, la seance ćtant presidee pa,r le professeur Miliai Berza, membre •correspondant de TAcadćmie de la Republiąue Socialiste de Roumame et directeur dc Tlnstitut ; Alexandre Du^u, maitre de recherches, a annonce la dćeouverle du cours de Biblio-*graphie balkaniquc fait par N. Iorga k son ancien Institut d’ćtudes sud-e^t enropeennes <v. « !Revista bibliotecilor », 11 /1965)

En mfcine temps que les mamfestations deja citees, on a orgamse, pendant les mois

-de novembre et de decembre 1965, des expositions commeinoratives, conceinant Nicolas

Iorga, aux Archives de TF.tat, k la Bibliothequc de TAcademie de la Rćpubliqne Socialiste

•de Roumame et k Tlnstitut d^vlustoire qui porte son nom. On remarque li-bas, parini les

pifcces exposees, des autographes, des manusents, des citations de ses articles anti-facistes,

-des ćditions de livies, nombre de pliotographics illustrant dęs moments biographiqncs du grand

Jiomnle de lctties en pleme activitć scientifique et didactiqne, des aspects dc sa partici-

pation aux divers congrfcs mternationauK, aux solennitćs ou ii a reęu de liauts titres acade-

imąuls, ainsi qne des diplómes et de nombreux documents avcc les appreciations de qnelques

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savants dc rćputation mondiale au sujet de son actiwtć et de son ceuvre.

A Touverture de Texposition orgamsee i Tlnstitut d’lustoire «Nicolas Iorga», Andrei Otc-tea, membre de TAcadćmie et directeur de Tlnstitut, en rendant hommage a la memoire dc Tillustre peisonnage, a ćnumćre les aspeets multiples du laboneux travail deploye, pendant des -annćes et des annees, par Nicolas Iorga, fondateur de Tancien Institut d’lnstoue umverselle. A la fm du discours, Torateur a soulignć que Texposition commemorative tcmporaire constitue la preimere ćtape prćcćdant Torgamsation d'un musee memoriał permatienl o Nicolas Iorga a dans une salle de Tlnstitut

On pourrait dire que la maison memoriale «Nicolas Iorga * de V51enii de Munte ou bien la ville natale de Tćcrivain — Boto§am — ainsi que tous les colns ou demeure encore vivant Je souvemr du grand homme, constituent de ventables lieux de pelerinages. Lc peuplc rou-